Les Amours de Jane ( chapitre 1 )
Datte: 28/08/2018,
Catégories:
ff,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
Oral
Je sirotais une boisson fraîche sur la terrasse du « Soleil Levant », tentant vainement de rafraîchir mon gosier asséché par la chaleur de ce mois d’août. J’attendais , qui voulait me présenter son nouvel ami. C’était devenu une sorte de rituel, chacune de nous attendait de l’autre un avis concernant nos conquêtes amoureuses. Nous étions plus que des amies, nous étions comme des sœurs. Ils nous arrivait, parfois, de prendre du plaisir dans les bras l’une de l’autre. Je vis arriver Élise, suivie d’un jeune homme, ma foi, très élégant. Elle était radieuse, comme de coutume, son visage rayonnait, les boucles blondes au reflet argenté donnaient à son visage un air angélique. Élise est une très jolie jeune femme, grande, au corps élancé, aux formes parfaites. Sa peau d’une blancheur extrême, rehaussant intensément le gris de ses yeux, lui donnait un regard profond, insondable. Je trouvais Élise d’une beauté parfaite, sans faille. Lorsqu’elle me vit, je lui fis signe, et, se frayant un passage entre les badauds attablés, ils s’approchèrent de ma table. Je me levai, fis la bise à Élise, et tendis la main au jeune homme. — Jane, je te présente Anthony, me dit-elle avec un regard inquisiteur. Je souris à Élise, la patience n’était pas son fort, et j’aimais jouer avec elle sur ce terrain. — Enchanté de te connaître, Anthony, asseyez-vous, dis-je en montrant les fauteuils d’un regard vif. Élise et son nouveau compagnon s’installèrent à la table, le garçon de café prit leur commande. Je ...
... commençais dès lors à scruter Anthony, je le dévisageais, sans vraiment m’en cacher. — Alors, voilà donc le jeune homme qui a eu l’honneur du lit d’Élise ! Ce n’était pas une question, mais une affirmation. Certes Élise avait toujours eu bon goût concernant les hommes. Et Anthony ne dérogeait pas à ses critères de sélection. Il était grand, brun, bien bâti. Son visage était parfaitement sculpté, et ses yeux verts étaient, je l’avoue, envoûtants. Nous passâmes l’après midi ensemble, je posais des questions à Anthony, et il s’y soumettait volontiers, avec une pointe d’amusement. Je regardais ma montre, l’heure était déjà bien avancée, et je proposais à mon amie de venir dîner à la maison ce soir. — D’accord, Jane, je serai chez toi vers vingt heures, je raccompagne Anthony chez lui ! Je n’étais pas dupe, je savais fort bien qu’Élise voulait s’offrir du bon temps avec lui. Je lui souris, me levai, et dis à Anthony : — J’espère que nous nous reverrons, j’ai été contente de te rencontrer. Élise arriva à l’heure dite, lorsque je lui ouvris la porte, elle me sauta presque dessus. — Alors, Jane, qu’en penses-tu ?— Pas mal, c’est vrai, je l’admets. Mais elle savait que je voudrais des détails plus poussés, je n’avais vu l’homme que très peu de temps, et j’aime savoir si ses conquêtes lui donnent du plaisir au lit. Nous prîmes place dans le salon, je nous servis un verre de vin et commençai alors à la questionner. — Alors, Élise, dis-moi, comment est-il monté ? Il a de belles fesses ? ...