1. Les Amours de Jane ( chapitre 1 )


    Datte: 28/08/2018, Catégories: ff, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral

    ... glissa son visage entre mes cuisses, posant un baiser sur la naissance de mon sexe, et me regarda d’un air fort coquin, attisant plus encore mon excitation. — Oui, Élise, m’entendis-je dire, fais-moi l’amour ! Avec la douceur dont elle avait le secret, elle entreprit de découvrir mon bouton rose, qui avait doublé de volume sous l’emprise du désir. Sa langue se posa dessus, m’arrachant un soupir de ravissement. Sa langue se mit à tourner autour de cette excroissance de chair, l’aspirant entre ses lèvres. Elle passa sa langue le long de ma plaie ouverte, dégoulinant de mon liquide vaginal. Glissant entres mes lèvres, s’insinuant en moi, sa langue pénétrait mon intimité. Je ne pouvais réprimer mes gémissements de satisfaction. — Dieu, que c’est bon ! ne t’arrête pas, Élise. Aime-moi… Élise m’aima, je sentis entrer en mon être un doigt, un doigt qui fouillait mon intimité, tandis que sa langue continuait son incessant va-et-vient sur mon clitoris. Élise m’aima, elle m’aima tant et si bien qu’un orgasme jaillit de mon ventre, remontant vers ma gorge dont s’échappa un cri de jouissance. Élise remonta à ma hauteur, et vint poser ses lèvres sur les miennes. Je ne pouvais en rester là, je me devais de lui rendre la pareille. J’entrouvris mes lèvres et, de ma langue, je vins dessiner le contour impeccable de sa bouche. Nos langues se mêlèrent dans un baiser gourmand. À mon tour, je me mis en ...
    ... devoir de donner du plaisir à Élise. Mes mains s’aventuraient sur son corps, mes lèvres posant des baisers délicats sur sa peau soyeuse. J’arrivais vite au niveau de son pubis. Et si, moi, j’étais complètement épilée à cet endroit, Élise, elle, avait gardé un duvet frisottant bien dessiné en forme de « ticket de métro ». Je trouvais son sexe d’une extrême beauté, il m’attirait tel un aimant. Je ne tardais pas à aventurer ma langue sur son « précieux », fouillant son intimité pour y trouver sa fraise rosie, que je me mis à suçoter. Je me mis en œuvre, m’appliquant à ma tâche, léchant, pinçant et aspirant son bouton de chair, pour son plus grand plaisir. Élise aimait mon jeu de langue, je le savais, et je prenais plaisir à lui soutirer des gémissements de satisfaction. Ma langue glissant entre les lèvres fines de son sexe, je partais à la recherche de son intimité. Enfonçant ma langue dans son puits d’amour, je me mis à aller et venir dans son antre. Ma caresse buccale ne tarda pas à la faire jouir, je la sentis se contracter et sortir de sa gorge un râle de contentement. Remontant à sa hauteur, posant ma tête sur son épaule je lui dis : — Élise, je t’aime, si tu savais à quel point je suis bien avec toi. Elle ne répondit pas, et posa un baiser sur mon front. Le sommeil nous emmena dans son linceul de rêves et, dans les bras l’une de l’autre, nous plongeâmes dans un monde de songes. 
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