1. un chien qui s'ignore 3


    Datte: 28/08/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    J’étais très inquiet pour le lendemain et si j’avais pu utiliser mon portable, j’aurais appelé les flics. J’étais allé trop loin mais ma femme avait pété les plombs. Je ressassais toute la nuit une méthode pour implorer son pardon et repartir à zéro.Finalement le matin arriva, ma femme me rejoignit au salon, en simple nuisette, la plus excitante, celle que je lui avais offerte.‘Ouh quelle odeur de porc ici !’‘Tu as fait sous toi sale dégueulasse, heureusement que j’ai prévu les serpillères’Elle m’humiliait et je ne me rebiffais pas, perclus de douleur, ankylosé, honteux d’avoir du pisser sur le sol. Elle fini par enlever mon jean et ma chemise en les découpant au cutter, me laissa mon bâillon. Elle prit plusieurs photos en me forçant à ne pas tourner la tête. C’était pour son compte face book. Elle me dénoua les liens qui retenaient mes coudes et mes genoux sous le plateau de table, j’étai s toujours lié par mes pieds et mes poignées aux 4 pieds de la table basse, mais je pus bouger mes membres. La douleur de mes flagellations m’arrachait des grognements. J’aurai voulu qu’elle m’enlève mon bâillon pour essayer de la calmer, au lieu de ça elle me passa sur la tête un étui de duvet qu’elle ferma au niveau du cou, je n’y voyais plus que des ombres. Elle se mit à califourchon sur ma nuque pour m’empêcher de bouger et glissa un manche à balai entre mon coude gauche qu’elle tirait en arrière et mon dos. Elle le fit coulisser jusqu’à mon coude droit, dans un tressaillement de ...
    ... douleur. Elle se releva, mes bras étaient tirés en arrière et plaquaient le manche à balai contre mon dos meurtri. Des larmes de douleurs me venaient aux yeux, j’hurlais dans mon bâillon. Elle commença à nouer mon bras à mon avant bras autour du manche, me libéra mon poignet gauche du pied de la table et tira violemment la boucle de manière à bloquer mon avant bras en arrière sur le côté de mon dos. J’hurlais dans mon bâillon. De douleur, d’humiliation et de peur de ce qu’elle manigançait. Je ne pouvais pas reprendre le dessus. Elle n’était pas décidée à me relâcher.Jusqu’où irait-elle ?A ce moment, j’étais loin d’imaginer que ce n’était que le début d’une descente dans un cauchemar dont elle tenait les rênes. Elle avait tourné de côté et achevé mon immobilisation de mon avant bras droit. Je n’avais plus aucun contrôle de mes bras, immobilisés en arrière. Le manche à balai s’enfonçait dans mon dos, dans sang coulait de mes plaies rouvertes, je respirais brillamment dans mon bâillon. Je croyais en avoir fini quand elle reparti dans la cuisine, mais elle avait du prendre d’autre lien car je sentais qu’elle s’attaquait à mes jambes ! Elle devait attacher chaque cheville au manche de balai car je sentais un autre lien. Lorsqu’elle détacha le lien qui me tenait la cheville gauche au pied de la table, elle tira encore violemment sur un lien coulissant qui me tira douloureusement mon pied en l’air. Je sentis le manche à balai être lui aussi tiraillé vers le bas. Elle refit la même ...
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