1. un chien qui s'ignore 3


    Datte: 28/08/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... opération en se déplaçant du côté droit. Le manche était tiraillé ver le bas. Mes cuisses tirées en arrière, accentuaient la pression du manche sur mes plaies. J’hurlais de douleur.‘Voilà !’ me dit elle ‘Je n’ai pas dormi beaucoup de la nuit après ce que j’ai appris hier soir. J’ai eu le temps de réfléchir à ta punition. Et puis je me suis dit que tu recommencerais à fourrer ta sale bite n’importe où. Il fallait que tu payes et que tu regrettes. Pas des regrets comme ce que tu dois éprouver maintenant. Non des regrets de tout ton corps, des regrets de tout ce que tu n’auras plus. J’en ai discuté avec Laurence. Elle pense que tu es incurable et m’a donné beaucoup d’idées. C’est elle qui m’a expliqué comment te mettre à ma merci. Je me suis bien débrouillé non ? Regardes toi ! On dirait un morse échoué sur la banquise ! Et puis on a discuté de ton avenir. Et nous sommes tombés d’accord : tu ne me nuiras plus et tu ne nuiras plus aux femmes en général. Je sais que ce n’est pas la première fois que tu fais tes saloperies. Mais je peux te dire que c’était la dernière !’Un frisson me parcouru le dos devant sa résolution calme et d’avoir évoqué ma collègue Laurence me faisait instinctivement paniquer. Je ne reconnaissais plus ma femme, j’avais du la tromper une fois de trop. Ce calme et cette colère retenue…Elle se leva et je l’entendis ramasser une chaine. Elle me passa un collier au cou et tira violemment en arrière, écrasant ma glotte. Je toussais dans mon bâillon.‘Tu vas voir ...
    ... que la laisse de Toby va beaucoup te servir !’Elle tira la laisse de côté de manière à me forcer à ramper pitoyablement sur le côté de la table.Elle tirait de toute ses forces (je pesais à cette époque plus de 90 kilos et ma femme à cette époque à peine 50), je devais bouger sur le côté pour ne pas suffoquer. Finalement mon corps tomba sur le côté sur mon épaule, le bas de mon corps était encore coincé sur la table. Elle tira celle-ci en avant et je sentis mon corps entier s’affaler sur mon ventre. J’étais comme rivé au sol, les bras bloqués en arrière, les chevilles tirées au dessus de mes fesses. Impossible de bouger. Je tournai la tête pour pouvoir respirer. Elle enleva l’étui de mon visage et pris à nouveau des clichés.‘Celles-ci seront peut être pour ton patron’…Que pouvais-je faire à part la regarder de mes yeux embués de larme de douleur. Elle était toujours dans sa nuisette, au dessus de moi. Couché à ses pieds, je pouvais voir sa culotte et ses cuisses nues. Elle avait raison, je commençais à regretter du plus profond de mon âme.Elle ne s’occupa plus de moi et alla déjeuner, prendre sa douche, s’habiller et sortit sans explication. J’entendis la voiture démarrer et s’éloigner. J’essayais d’analyser la situation : mes mains ne pouvaient rien atteindre, mon portable devait être dans mon jean resté là, au pied de la table lacéré au cutter. De toute façon pas moyen d’appeler à l’aide ou encore moins de taper un sms. J’essayais de ramper, rien à faire, j’étais plaqué sur le ...