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Au Palais de Justice
Datte: 29/08/2018, Catégories: fh, ff, ffh, inconnu, fsoumise, hdomine, noculotte, odeurs, Masturbation facial, Oral 69, fgode, préservati, pénétratio, fdanus, baillon, humour, ecriv_f,
... sens les gouttes qui dégoulinent le long de mes cuisses ; je suis sûre qu’un observateur attentif peut le remarquer quand je lève les jambes pour gravir l’escalier. Mais je n’ai plus beaucoup de distance à parcourir ; nous empruntons un corridor au premier étage ; plus nous avançons, moins il y a de monde et plus il fait sombre. Oui, ce sera vraiment une « salle tranquille ». Nous sommes au fond du Palais ; il y a de moins en moins de lumière, et les bruits nous parviennent étouffés. J’ai eu le temps de ma calmer un peu. Il ouvre une porte latérale ; nous sommes dans ce qui ressemble à une salle d’audience désaffectée : mobilier en bois, hauteur de plafond imposante mais aucune fenêtre ; il n’allume pas la lumière. Il pose sa serviette sur un banc, l’ouvre et en sort un épais dossier. Lorsque je reconnais la ficelle de mon string qui dépasse du papier cartonné, je rougis jusqu’aux oreilles. Il me demande ce que je pense de sa tenue. — Intimidante.— Pourquoi ?— On se demande ce qu’il y a en-dessous.— Venez donc vérifier par vous-même » Je m’approche timidement ; il me saisit la main et la fourre dans ce que je crois être une poche : surprise : la poche n’a pas de fond ! Et je me retrouve en possession d’une belle bite bien dressée qui a déjà le crâne légèrement gluant. Je me fais l’effet d’une petite fille à la sortie de l’école qui a été cherché un sucre d’orge dans la poche du vieux monsieur en imperméable. Sauf, que je n’ai plus l’âge des couettes et des jupettes et que ...
... le sexe ne me fait plus peur. Au contraire ! Je saisis donc ce qui m’est si gentiment tendu à pleines mains et entreprends de branler l’animal. Sa bite durcit au contact de mes doigts qui montent et descendent, effleurent le gland, retournent à la base, caressent les bourses au passage. J’ai des envies primitives de sentir, et lécher l’objet de mes désirs. Je me glisse sous la robe ; je m’agenouille. Il s’assied à demi sur le banc derrière lui et écarte les jambes en me caressant la tête à travers le tissu. Je renifle l’odeur de son sexe mêlé déjà à celui de ma salive ; j’aime ! Je suis hyper sensible aux odeurs. Je distingue en arrière fond le parfum de la lessive utilisée pour son linge, mêlé à son parfum de grande marque. Je plonge mon nez comme un chiot : je distingue l’odeur brute de son sexe et je mouille comme une fontaine. Lasse de renifler, je gobe à nouveau sa bite, je l’avale tant que je peux pourtant elle est si longue que je ne peux l’avaler jusqu’au bout, mais mes tentatives sont récompensées par ses légers gémissements ; je sens qu’il apprécie le traitement. Je l’inonde de ma salive, je lèche goulûment ; je sens la sève qui monte et sa queue qui prend encore du volume. J’ai la bouche pleine de son sexe et j’aime ça. Il ne dit pas non ! Mais ces apéritifs m’ont mis en appétit, il s’agit de passer à un menu plus consistant. Je ressors de sous la robe. Coucou, le petit oiseau est sorti !On se croirait sous le drap d’un photographe des années 1900 qui se cache pour ...