Au Palais de Justice
Datte: 29/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
inconnu,
fsoumise,
hdomine,
noculotte,
odeurs,
Masturbation
facial,
Oral
69,
fgode,
préservati,
pénétratio,
fdanus,
baillon,
humour,
ecriv_f,
... effectuer son cliché ! Mon avocat a l’air bien excité : je vois le rictus de ses lèvres, la lueur de son regard. Je sens que ça va être ma fête ; bingo ! A peine le temps d’émerger qu’il m’attrape et m’allonge sur le banc. Il relève ma jupe, découvrant mes bas et ma culotte-porte-jarretelles. Il s’agenouille et embrasse mon sexe à travers le tissu ; ça fait chaud d’abord, puis froid quand il s’en va ; je ne veux pas qu’il s’en aille, je le chope par la nuque et l’invite ou plutôt lui intime l’ordre de poursuivre ses investigations. Il écarte mon slip et commence à me lécher autour du trou qui ouvre sur mon vagin ; il lèche le pourtour avec application, et à chaque tour, s’insinue un peu plus. Je suis en train de cirer le banc avec ma mouille ; encore quelques séances comme ça et je pourrai présenter ma facture au Ministère de la Justice pour avoir nettoyé avec application tous les bancs du Palais (voire le personnel avec) ! Mais je m’égare… Et sa langue aussi, elle s’engage de plus en plus profondément dans mon intimité ; je fais des sauts de cabri tant je ressens des décharges de plaisir ; Il est doué le bougre ! Ses mains ne restent pas inactives, elles sont passées sous le soutien-gorge et me pétrissent les seins ; les tétons sont durs et rouges ; j’aime ses caresses, j’aime ses mains viriles sur ma peau. Puis sa langue abandonne mon orifice, remonte le long des lèvres jusqu’au précieux capuchon qui est déjà tout dressé, attendant son tour d’être agacé par cette langue ...
... experte. Il le caresse d’abord entre ses doigts, puis s’approche, le léchouille, et enfin l’aspire. Je crie. Il m’ordonne de me taire. Mais je ne peux pas me retenir tant la sensation est forte ! Alors, il dénoue sa cravate et me baillonne en quelques rapides mouvements. Mes gémissements sont étouffés et il peut jouer avec mon clitoris tant qu’il veut ! Je ballotte sur le banc, je ne sais plus où j’habite et comment je m’appelle, je suis aux ordres de cette bouche qui m’aspire, me suce, me lèche. Mon corps se tend, mes mains battent l’air et je jouis violemment. Je retombe pantelante sur le banc. Il se redresse, je le regarde : il a le menton et le bout du nez luisants de ma cyprine ; j’ai envie de lui lécher le visage pour le nettoyer ; on dirait un chat qui a bu une écuelle de lait… enfin, plutôt un truc genre huile ou margarine pour que ça brille comme ça ! A propos de félin, moi j’ai la chatte béante ; on pourrait y rentrer à plusieurs sans problèmes ! Mais Monsieur a d’autres plans. Il sort de sa serviette un gros gode, qu’il me montre. J’ai le temps d’avoir peur de sa circonférence et il me l’enfile alors lentement puis d’un coup sec ; je m’arc-boute sous l’assaut. Il fait quelques va-et-vient avec l’objet ; j’ondule au même rythme. Je suis de nouveau excitée. Il remplace l’objet par sa propre bite, revêtue d’un préservatif vert qu’il vient d’enfiler sous mes yeux. Je suis allongée sur le banc, jambes repliées, les genoux sur la poitrine et il me besogne. Alors, il ...