Ophélie, de femme à femelle (5)
Datte: 29/08/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... poitrine qu’on a l’impression que les boutons vont sauter, que je me présente à lui, à mon patron. Il me détaille sous tous les angles fessant le tour pour mater mon derrière. - Pas mal, je vois que tu as fait des efforts vestimentaires. Au fait, l’aide-soignante est arrivée, on peut y aller. Sans me laisser répondre ni aller dire au revoir à mon mari, il m’entraine par le bras vers sa voiture. Nous partons direction l’agence. En route il me fait écarter les cuisses, dévoilant mon sexe, le caressant de temps en temps, ce qui nous value un coup de klaxon d’un camion, arrêté à notre hauteur dans les embouteillages de Marseille. - Laisse tes cuisses écartée, fais le bander ce monsieur ! m’ordonne Arnaud. Rouge de honte j’obéis, je n’ose pas regarder ce routier qui doit avoir une vue imprenable sur ma toison. Il pousse même le vice à me titiller mon clitoris, me fessant frémir de plaisir, oubliant presque ce routier qui ne doit pas en croire ses yeux de cette scène surréaliste. La circulation se fluidifie, et nous arrivons enfin à l’agence, toujours mon sexe à la vue d’Arnaud qui, s’arrêtant dans le parking souterrain, se tourne vers moi et m’ordonne de sortir de la voiture. Il est 9h00, l’heure à laquelle je dois prendre mon poste, mais je suis là, debout, tête baisser devant la voiture, attendant mon patron qui pianote sur son téléphone, envoyant des messages me semble-t-il. Au bout d’un moment qui me semble une éternité, il sort de sa voiture, fais le tour et viens se ...
... coller à moi, pressant sa virilité dans le bas de mon dos. - J’ai toujours envie de jouir, en plus tu as fait exprès de m’exciter dans la voiture ! qu’es ce que tu proposes pour remédier à ça ma salope ? Mon dieu, qu’es ce que je peux lui répondre ? S’il veut que je le suce, je ne vais pas y arriver ! Il va encore s’énervé. Angoissée, je regarde partout dans le parking pour voir s’il y a quelqu’un et, dans un effort surhumain, je me saisis le bas de ma petite jupe, la relevant par-dessus mes fesses comme une invitation, espérant qu’il comprenne. Cette invitation le fait rire et, il commence à se frotter contre mes fesses. Me fessant sentir toute son érection, son envie ce qui m’excite, me fais mouiller. Mais il ne fait rien, il ne sort pas son pieu pour me l’enfoncer dans ma petite chatte dégoulinante. Pourquoi ? Pourquoi il me fait languir comme ça ? Il attend que je lui demande, que je le supplie. - Baisez-moi monsieur ! baisez votre chienne. Je mesurai toute l’importance des mots que j’ai employés. Comprenant qu’avec cette demande j’abdique, je m’abandonne à mon maitre chanteur, mon patron pervers. D’une main ferme, il appuis sur mon dos, m’obligeant à coller mes gros seins sur le capot de sa voiture, écartant mes jambes avec ses pieds. Il se décolle de mes fesses et je l’entends ouvrir sa braguette. Il frotte son gland sur mes petites lèvres, titillant mon clitoris, comme hier ! Et sans attendre, me pénètre d’un coup, de toute sa longueur ! Humm ! Drôle de sensation, j’ai ...