1. Ophélie, de femme à femelle (5)


    Datte: 29/08/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    J’émerge doucement de mon sommeil, allongée sur mon canapé, encore vêtue de mes habits d’hier. Sans faire le moindre mouvement, je pris pour que ce qui s’est passé hier ne soit qu’un rêve mais, la sensibilité de mon entrejambe me rappelle à la réalité. Ce rapport torride et jouissif n’était donc pas un rêve, je me suis véritablement faite baisée par mon patron. Je cherche à tâtons mon téléphone pour voir l’heure. Mon dieu, 8 heures moins dix, 2 appels en absence, un message et un SMS. D’un bon je me redresse écoute le message. C’est l’aide-soignante de mon mari, elle aura 1 heure de retard. Merde Le SMS, de mon patron, il me dit d’être prête à 8 heures, il vient me chercher. Re merde ! Je me lève rapidement, paniquée essayant de faire le point sur la situation. L’aide-soignante va arriver vers 8h30. Mon patron à 8h00, ça me laisse moins de 10 minutes pour préparer mes affaires, prendre une douche et, me préparer. J’enlève ma robe et, cours toute nue vers ma salle de bain. En passant je jette un coup d’œil dans la chambre de mon mari, ça va il dort encore, enfin une bonne nouvelle. Je saute dans la douche, et commence à me savonner sous l’eau encore froide. Ça va me réveiller comme! Je passe mes mains partout sur mon corps, hum avec la froideur de l’eau j’ai mes tétons qui sont tous durs, je m’attarde un peu dessus, passant et repassant mes doigts. Humm si j’avais le temps. Vite pas le temps, je m’attaque à mon entre-jambes, il y a du boulot, j’ai du sperme séché dans mes ...
    ... poils pubiens, sur mes lèvres encore sensible, sur mes cuisses. Même entre les fesses. Le salop, il m’en a mis vraiment partout ! Petit rinçage toujours à l’eau froide et je sors de la douche. En m’essuyant je regarde de nouveau l’heure : 8h00 Merde, merde, merde. Je n’ai pas encore préparé mes affaires, je sors de la salle de bain enroulée dans une serviette, me précipite dans le salon. Avant même d’y arriver, j’entends toquer à la porte. Pitié, faites que ce soit l’aide-soignante. J’ouvre et découvre Arnaud, mon patron, habillé costume, cravate. S’il n’était pas aussi pervers, je pourrais le trouver séduisant. Il me toise de haut en bas, je sens une pointe d’agacement dans son regard. - Tu n’es pas encore prête ? qu’es ce que tu fous ? je t’ai dit 8h00 ! J’essaie de lui expliquer tant bien que mal, que je ne me suis pas réveillée, que l’aide-soignante a du retard et, que je ne peux pas laisser mon mari encore endormi tout seul. Sur ces explications je vois son petit sourire en coin, quelle conne, en une phrase, je viens de lui dévoiler que je suis seule, à moitié nue, avec mon mari endormi ! Bravo Ophélie, si ça ce n’est pas une invitation….. D’ailleurs, il le prend comme tel, avançant vers moi, me fessant reculer au milieu du salon. Après avoir refermé la porte, il se tourne vers moi et, d’un geste habile tire sur ma serviette, dénudant mon corps, offrant toute mon intimité a son regard pervers. Par pudeur, je couvre mes seins avec mon bras et mon sexe avec l’autre main. Il me ...
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