Un village tranquille
Datte: 29/07/2017,
Catégories:
Lesbienne
Partouze / Groupe
Humour,
Un village tranquilleChloé arrive devant la boulangerie, essoufflée, après ses 10 km quotidiens…Mariée à Eric, sous-marinier, sans enfant, elle travaille chez un notaire, et entretient sa forme et sa silhouette de trentenaire.Il est 7 heures, le volet est baissé. Elle reprend son souffle, fait le tour, la porte arrière du fournil est entr’ouverte…Pierre, le boulanger, retire une plaque de croissants, et enfourne les baguettes fraîches, puis programme son pétrin pour la dernière fournée du matin.Tout sera prêt vers 08h00, quand Linda, sa femme, descendra et posera une tasse de café brûlant, prendra deux croissants et un pain et remontera déjeuner avec leur fille, Karine, jusqu’à 08h55…Là, elle descendra ouvrir le rideau, embrassera sa fille qui partira travailler à pied, chez le notaire du village, et s’affairera dans l’espace vente, attendant le premier client…Pour l’heure, Pierre allume une cigarette, la première, en buvant son café.Il regarde la pendule… « Elle ne va pas tarder », pense-t’il…Chloé lui sourit dans l’encoignure de la porte. Tout est calme…Il sent le café, la farine, le four, les croissants, et ses larges mains enserrent ses seins, remontant sa brassière, dévoilant les deux globes blancs, aux tétons dressés…Il l’arcboute sur la lourde table en bois sur laquelle une boule de pâte étalée sommeille…Son visage vient l’effleurer… Elle pose ses mains à plat, prête…Il baisse le short, pas trop, juste ce qu’il faut pour découvrir le Saint du Saint…Il sort un dard ...
... énorme de son pantalon tombé aux chevilles, un dard de concours ou d’acteur X…Chloé s’étire, se prépare…Pierre regarde, amusé, l’anus brunâtre, la chatte lisse, comme un abricot, aussi doux et aussi juteux… Il le savoure déjà…Il pense aux grandes lèvres, délicates ailes prêtes à s’ouvrir et s’écarter, qui laissent parfois perler un peu de cyprine dans la vallée des trésors…- Oh, oui… Viens… J’en ai envie ce matin… Mon mari est prolongé de 4 mois dans l’océan indien…Quelques mots chuchotés, le gland avide avance, effleure, et la magie opère…Il plonge dans la vallée dégagée, ouvre son chemin dans l’abricot ouvert, les petites lèvres qui cachent les secrets intimes, l’entrée de la grotte déjà entrebâillée, avec les premiers soupirs…La pendule sonne le quart d’heure, le pétrin démarre, le gland ouvre la porte, conquérant, princier, il plonge dans ce fourreau, ce trésor de fragilité, épilé et rasé, il accompagne les gémissements couverts par le ronron de la machine, il les provoque puis les augmente, et le sexe plonge en cadence, les seins de Chloé s’impriment dans la pâte, elle jouit, emportée par la vague, une onde divine et excitante, qui la fait craquer chaque fois qu’elle s’arrête ici, et ne peut que subir, dans cette position soumise, jusqu’à la fin du coït, au rythme de son amant, puissant et redoutable, l’amenant comme toujours aux sommets du plaisir…Elle se redresse alors, fière, délicieuse princesse aux seins nus, libre, assagie, mais gourmande, elle goûte au jus suprême, ...