1. Un village tranquille


    Datte: 29/07/2017, Catégories: Lesbienne Partouze / Groupe Humour,

    ... taille ou plus bas selon la taille et l’âge… Un peu comme un jeu, dangereux mais si bon…Sa main ira débusquer la protubérance qui l’agresse, enfin qui la tenaille… Puis elle prendra le sexe dans ses doigts et délicatement, elle le bercera, les yeux dans le vague, suivant les tressautements et les vibrations de la rame, jusqu’à ce que ses doigts reçoivent le fruit de son travail…Pendant ce temps elle aura guidé, si nécessaire, la main de son patient impatient, ou l’impatient patient, dans l’antre de son plaisir, qu’elle aura dégagé…Et elle fera tout ce qui lui est possible pour arriver ensemble… à la station suivante…3 minutes de bonheur, un mano a mano salutaire et thé****utique…Elle descendra de la rame sans un regard, flageolante mais libérée, l’œil encore humide, en s’essuyant la main, ressentant la fraîcheur de l’air sécher les poils de sa foufoune…Cela, c’était Chloé…Mais elle avait du mal à conclure son affaire, soit trop peu de voyageurs ce qui est rare, soit pas assez d’espace discret, ou raréfaction des sujets potentiels.Il fallait aussi trouver la meilleure place dans chaque wagon, ce qu’elle avait intégré rapidement.Ensuite d’autres facteurs venaient souvent contrecarrer ses desseins…Tant pis si elle gardait les mains libres afin de veiller à sa sécurité et donc elle ne participait pas activement, elle se laissait faire, mais ils aimaient ça…C’est ainsi que Pierre la rencontra, jupe affriolante, regard de chatte en chaleur, quémandant une faveur sexuelle discrète ...
    ... en plein métro bondé, entourée de voyageurs encore endormis…Ils se trouvaient dans un recoin, réservé aux personnes handicapées et il se mit à l’embrasser, facilitant leur intégration dans le paysage… Leurs voisins proches tournèrent ainsi la tête…Dès ce baiser conquérant, elle sut… Elle conduisit sa main, là où elle voulait, mais il avait compris le souhait de la donzelle, se faire masturber en pleine heure de pointe dans le métro bondé, sans doute un fantasme…Il réussit si bien, qu’elle tomba dans ses bras, ivre de plaisir… Il venait de jouir dans une petite main, douce comme une fleur sans épine, un écrin…Et au lieu de continuer leur journée, ils firent un détour dans un parc et complétèrent ce qu’ils avaient commencé, au hasard des bancs libres et des sous-bois serrés.L’après-midi, Chloé en redemanda, elle l’entraîna dans sa chambre d’hôtel, Gare du Nord, où elle était descendue rejoindre son mari, de passage quelques jours… Il était reparti, la laissant dans un état irréel, pathologique, elle n’osait en parler…Ils terminèrent ce qu’ils n’avaient pu terminer, faute de munitions…Chloé, était aux anges, exténuée, laminée, pourfendue, vidée, sans force, l’esprit embrumé en quittant son hôtel.Trois heures de coït, une bataille rangée, un feu d’artifice, elle lui avait avoué ce qui la taraudait…Elle était tombée sur l’amant parfait pour éteindre ce volcan ravageur…Était-ce une maladie ? Ce besoin physique l’envahissait depuis le départ de son mari…Elle devait le satisfaire à ...
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