Coupe du monde
Datte: 29/07/2017,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
hépilé,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
massage,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
délire,
humour,
sf,
fantastiqu,
... figea dans ma gorge : ses appendices sexuels remuaient en moi. Je ne voyais que cette explication. Je les sentais bouger, gigoter dans mon cul et mon ventre, toutes seules. La sensation en était étonnante, somptueuse, merveilleuse, que sais-je encore. Ses queues me titillaient l’intérieur. Je gémissais en continu. Il me faisait des points d’acupuncture vaginale. Il venait de trouver mon point G. Je me sentais fondre et exploser en même temps. J’étais certaine qu’avec le point G, il avait aussi trouvé le F et le H. Que dis-je ; il récitait tout l’alphabet ! D’autant que dans mon cul, son autre sexe menait la sarabande. Je poussai un long hurlement de louve en rut. Le cri de la louve à la lune. Je ne savais pas s’il avait joui lui aussi, s’il avait déversé de potentiels M. Jackson dans mon ventre, mais il se retira, non sans m’avoir léché les sourcils. Je restais en vrac sur le canapé. Zami s’approcha et me prit tendrement dans ses bras. Il me fit asseoir sur lui, le dos contre son torse. Ses verges ou quoi que ce soit frétillaient et entrèrent facilement. Il attrapa mes doudounes et fit rouler ses doigts dessus. Ses phalanges pressaient et relâchaient ma poitrine, qui semblait aspirée. Sa langue dessinait des arabesques à la base de ma nuque en une douce caresse. Les trois autres sbires profitèrent de la situation et de ma position. Mes tétons furent saisis par deux langues préhensiles alors que le troisième larron me faisait vibrer la virgule. Il écarta ma petite ...
... parenthèse enchantée de ses doigts délicats et vint enrouler une pointe de sa langue autour de mon petit bourgeon, alternant pressions et relâchements. L’autre pointe me le caressait. Ils semblaient capables de faire plusieurs choses à la fois avec le même organe ! Leurs mains me tripotaient, me frôlaient, me palpaient. Toutes mes terminaisons nerveuses étaient sollicitées. En deux minutes je partis en vrille, hurlant des « Arrêtez, c’est trop ! », « Continuez, je vous en supplie ! », « Encore, encore… » Je n’allais pas pouvoir supporter cela bien longtemps. Peut-on mourir de trop d’orgasmes ? Un petit verre de Vasykonrigol me requinqua un peu. Ils ne pouvaient pas faire plus. Eh ben, si ! Je croyais avoir des hallucinations. Zami s’approcha de moi ; ses appendices semblaient tressés. Ses deux sexes ressemblaient maintenant à un toron. Zoot le suivait, dans les mêmes dispositions. Ils n’allaient quand même pas… Si ! Zoot me prit dans ses bras, me souleva et posa mon bienheureux minou sur son paratonnerre. Derrière moi, Zami enfila la sienne dans mon anneau de Saturne. L’ensemble semblait plus gros, mais le tout entra quand même sans difficulté et se mit à y gigoter. Une pensée saugrenue me traversa l’esprit : pouvait-on dire que je participais à un quadrille ? Je crois bien n’avoir jamais autant crié de toute ma vie. Et je ne le regrettais pas. Quel pied ! Je restais avachie dans le canapé, un sourire béat aux lèvres, enfin, à la bouche. Moi qui n’avais jamais trompé mon mari, qui ...