Le rose et le noir. Ludivine
Datte: 30/08/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
fbi,
hotel,
amour,
volupté,
Oral
69,
ecriv_c,
... ceinture de son kimono… qui s’ouvrent béants. Oh là ! Paradisiaque ! Elles m’apparaissent seins nus et en petite culotte. Une grande et une plus petite, magnifiques… l’espace d’un instant, car Ludivine se colle ventre à Laure, qui s’écrit en riant « La-la-lère ! » en levant un bras… comme dans une revue du Crazy Horse ! Puis fin ! Avec un même mouvement les kimonos se referment, et elles se rassoient hilares. Je dois faire une tête… ayant encore dans les yeux leur poitrine, leurs cuisses, leur culotte. Nous sommes encore à rire et parler que le portable de Ludivine sonne. À l’écart dans un coin du salon elle répond. De toute évidence c’est son copain… « Oui je vais bien… », dit-elle agacée, « Non Kevin ! Non, je ne rentrerai pas ! », puis « Non, n’insiste pas… c’est fini, tu me fais peur… », et enfin « Pour mes affaires, pour ce qui reste, je les prendrai plus tard, je viendrai avec des amis les chercher… oui demain, dans la journée. Autant que tu ne sois pas là. Allez, salut ! » Elle reste prostrée, les larmes aux yeux : « C’est dur quand même… » souffle-t-elle, « il était prêt à me pardonner, que tout ça est arrivé de sa faute. Mais non, c’est fini… » Laure la rejoint, maternelle, et la prend dans ses bras, pendant que d’un geste elle me fait signe de m’éclipser… Décidément bien gentille ma chérie ! Je ne la connaissais pas sous cet angle… et c’est tout à son honneur. o-o Plus tard, Ludivine ayant récupéré, nous passons la soirée à discuter, les filles dans le canapé, moi ...
... vautré dans un fauteuil. Lumière baissée, nous baignons dans une ambiance feutrée, où nous parlons bas, devrais-je dire, où elles parlent bas… De ma place je les observe et c’est un plaisir pour les yeux et les sens. Des mouvements variés de jambes croisées et décroisées, laissant voir chaque fois des bouts de cuisses, une seconde même parfois, un soupçon de culotte… Et aussi des bruissements de tissu, un sein entrevu dans une échancrure, un bâillement du kimono, leurs cheveux, leurs yeux jouant avec des reflets de lumière. Je suis aux anges, ne perdant rien de cette symphonie. Laure, avec un sourire, remarque mon manège et en rajoute… et, ce qui n’était que des visions flash devient de véritables arrêts sur image… « La garce… pensé-je, elle joue à m’énerver… et je suis là comme un couillon ! » Elle pousse le vice jusqu’à relâcher un peu, de quelques gestes anodins, le kimono de Ludivine « Voilà, comme ça, tu es mieux… » lui murmure-t-elle. Laure continue de me regarder à la dérobée, ravie de me savoir dans tous mes états… et soudain, entourant d’un bras amical les épaules de Ludivine, elle lâche : « Et si nous allions dodo… non ? Il est peut-être temps ! ». Et elle se lève, en aidant notre amie à l’imiter. C’est le moment que je redoutais ! Que va-t-il donc se passer ? Je n’ose en regarder aucune, faisant genre « je ne suis pas là… » Laure prend les opérations en mains, invitant Ludivine à aller dans la chambre… celle-ci me faisant un petit geste de la main avec un petit air ...