1. De Constantine à Marseille - Jean - 3


    Datte: 30/08/2018, Catégories: hh, jeunes, Collègues / Travail hépilé, hotel, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme intermast, Oral hdanus, hgode, hsodo, jouet, aliments, baillon, init, Gay

    ... est bon, Abdel, surtout, c’est qu’on se soit rencontrés ! Hochement de tête de sa part. — Qu’est-ce que t’aimes le plus chez moi, Abdel ? Il retire le vibro de son cul. S’assoit. Souffle. Réfléchit, les yeux regardant le plafond. — Ta Liberté, Jean ! ta liberté !— Tu veux dire quoi, exactement ?— Tu le sais bien ! Ici, ce que l’on fait est plus qu’interdit. Et toi, tu transformes l’interdit en rêve.— C’est beau ce que tu dis ! lui dis-je en le chambrant en prenant l’accent arabe. Rires ! — Connard !— Enculé !— Même pas vrai ! Je me jette sur lui ! Nous luttons pour rire ! Puis j’approche mon sexe de sa bouche. Il l’avale et lui redonne rapidement toute sa raideur. Quelle pipe ! Ma queue va-et-vient dans sa bouche sans trouver le moindre obstacle… Si ce n’est cette langue qui titille mon gland et s’apprête à le faire bientôt exploser… Je m’extrais de justesse. Je retourne Abdel et me retrouve avec la queue devant son cul. — T’es prêt pour le grand saut ?— Oui ! Vas-y ! Comment dire. Si mon premier coup de queue est gentil, ne trouvant aucune, mais alors aucune résistance, le second est brutal ! Et le troisième ! Et les autres ! Je l’encule à chaque coup jusqu’à la garde, en imprimant le plus de force possible, et Abdel gémit son plaisir. — Ah oui ! Oh c’est bon ! Mmmmh ! vas-y !… encore… À fond !!! Ohhhhh oui ! J’ai tellement attendu que, très rapidement, j’éjacule en lui, longuement, très longuement. Je lui hurle mon plaisir dans les oreilles, et lorsque tout est fini, ma ...
    ... queue est encore toute raide, et se trouve bien à l’aise, nichée dans l’anus de mon amant. Ah, mon amant ! Quel joli mot ! Et qu’il lui va bien, à Abdel ! Lorsque je me retire, je me couche sur le dos, à côté d’Abdel, et ferme les yeux quelques instants. Je les ouvre à nouveau. Abdel est allongé sur le côté, sa tête en appui sur sa main gauche, sa main droite masturbant lentement son sexe tendu. Ses yeux grands ouverts me regardent et me sourient. — J’ai très envie de toi !— T’es pas crevé ?— Tu rigoles ! J’ai très envie, tu sais ? Sa main quitte son sexe pour venir caresser mon entrejambe et mon sexe au repos. Je me retourne sur le ventre, nos yeux rivés les uns dans les autres, l’invitant à continuer. Sa main se retrouve sur mes fesses. Il me caresse, me pelote, me pince aussi. Pendant quelques minutes, j’ai droit à un agréable massage… qu’une grande claque vient interrompre. — Ouhh ! Tu fais mal ! dis-je sans me rebeller pour autant.— C’est moi le patron, maintenant. J’ai envie de te niquer. Te niquer bien à fond. Tu m’as niqué, c’est normal que je te nique aussi… C’est qu’il dit ça sérieusement, l’enfoiré. — T’es un vrai poète, Abdel ! De nouveau, nous engageons une partie de rire et une vraie bagarre. Et je fais bien attention d’avoir le dessous. Je me retrouve bientôt immobilisé sur le ventre, Abdel assis sur mes fesses, ses mains paralysant mes bras. Vaincu. — Allez, baise-moi, l’Arabe, lui dis-je, mais fais-le bien !— T’inquiète pas, le Français, tu vas morfler. Je sens ...