De Constantine à Marseille - Jean - 3
Datte: 30/08/2018,
Catégories:
hh,
jeunes,
Collègues / Travail
hépilé,
hotel,
hsoumis,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
hdanus,
hgode,
hsodo,
jouet,
aliments,
baillon,
init,
Gay
... rencontrent, j’ai comme un grand flash dans les yeux. Il pose son verre à son tour et vient poser ses deux mains dans mon cou pour m’attirer et me serrer très fort contre lui. Son odeur corporelle, où je devine le cumin, vient assaillir mes narines, et je respire à fond cette odeur d’homme qui m’a tant manqué ces derniers temps. Sa langue tourne doucement et assez maladroitement dans ma bouche, mais la mienne vient lui indiquer le rythme qui convient. Un peu plus tard, mes doigts s’activent pour défaire les boutons de son habit de feu. — J’aime beaucoup ta chemise ! lui dis-je.— C’est vrai ?— C’est pas vu ! Surtout ici !— C’est ce que tout le monde me dit quand je la mets ! Je l’adore aussi ! C’est un ami qui me l’a ramenée d’Espagne !— Abdel, mes goûts sexuels sont… particuliers ! J’espère que ça te plaira ?! Nouveau long baiser. Où j’avale goulûment son abondante salive. — Particuliers ? C’est quoi,particuliers ?— Tu verras. Plus tard, tu verras ! J’enlève sa chemise, la mets sur un cintre et vais la suspendre à une chaise. — T’es méticuleux, dis donc ! dit-il en souriant.— Ça fait partie de mon jeu, tu verras ! Même combat pour son pantalon ! Évidemment, son slip est à chier ! — Qu’est-ce que c’est que cette merde ? je demande en le tenant à bout d’index, comme si c’était un chiffon sale. Ça le fait exploser de rire et j’en rajoute sur l’impossibilité à être gay à part entière dans un pays où les slips sont si nuls. Et je lui fais aussitôt mon premier cadeau, un shorty ...
... HOM noir en lycra, piqué à Éric par erreur. Il l’essaie immédiatement. Ça lui va… trop bien ! Imaginez un mec de 1m 85, avec des carreaux de chocolat sur le ventre, des pectoraux de joueur de rugby et la musculature des trapèzes qui va avec. Une peau marron, bronzée juste comme je l’aime, pas plus, des fesses rebondies qui sont un appel vibrant au massage, les contours d’un sexe déjà bien excité qui joue à faire bouger le lycra, comme un œil fatigué qui clignoterait à intervalles réguliers… — T’es une vraie gravure de mode, Abdel ! En France, tu passes un casting, ils te prennent tout de suite !— Y prennent les Arabes ?— Les Arabes, les Blacks, les bruns, les métis !!! Tout ce qui est beau et qui fait vendre ! Nous rions. J’embrasse Abdel. Une grande douceur dans son baiser. Je ne sais si c’est le poids de son bras qui fait incliner mes lèvres vers sa poitrine. Je suis bientôt en train de sucer un téton qui se durcit au fur et à mesure. Gémissements, approbation, joie de la caresse ! — Tu as le corps d’une fille ! dit-il avec un zeste d’étonnement dans la voix, tu es doux comme une femme ! poursuit-il.— Et ça te plaît ?— J’adore ! Ses deux mains enserrent alors mes fesses après les avoir pelotées, comme pour s’assurer de la réalité de ce qu’elles touchent. — C’est incroyable, t’as pas un seul poil… j’ai jamais vu ça !— Tu aimes ça, hein ? dis-je.— Oh oui ! Et tandis qu’il parle, nos corps se frottent inlassablement l’un à l’autre, s’explorant de tous côtés, faisant en sorte que ...