De Constantine à Marseille - Jean - 3
Datte: 30/08/2018,
Catégories:
hh,
jeunes,
Collègues / Travail
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Gay
... retourne au lit ? Ça a l’air d’une question mais ce n’en est pas vraiment une. Rapidement nous nous séchons. Je ne peux qu’être admiratif de nouveau en contemplant la magnifique plastique de corps d’Abdel. À ce moment, je l’ai tellement dans la peau qu’une nouvelle bouffée de plaisir m’envahit à mon tour. Ma queue est bientôt brandie. Et comme nous sommes l’un en face de l’autre, il le voit. Il rit à son tour et donne une tape sur ma queue. Je fais de même sur la sienne, et cela dégénère dans une bonne partie de fou rire où nous nous poursuivons dan l’appartement, chacun armé d’une serviette, que nous faisons claquer habilement sur la fesse de l’autre. Comme nos corps sont encore mouillés, ça fait mal ! Mais nous n’en rions que plus. J’ai ouvert une nouvelle bouteille de Viognier, sorti des olives géantes du frigo, ainsi que des anchois que j’ai ramenés de France. Abdel découvre le goût des anchois. Une première, dit-il. Pas mauvais du tout !!! Je veux… Au bout de la bouteille, nous sommes bien ivres tous les deux. Non pas seulement du vin, mais aussi de cette liberté d’être ensemble et de nous aimer à notre guise. Abdel m’explique que chaque fois « qu’il a une occase… », c’est toujours à toute allure, dans le recoin d’une cave, au milieu d’odeurs de merde ou de poubelles, ou encore plus vite dans une chambre, avec l’autre qui te demande de baiser encore plus vite, homme ou femme, avant que l’inconnu survienne. Alors tout de suite, il profite. — Moi aussi, lui dis-je. Pour ...
... d’autres raisons, sans doute. Car je suis tombé raide dingue de ce corps sauvage et musclé, de cette queue si dure, du sourire moqueur, aussi ! Abdel avoue une petite faim. D’autorité, il ouvre la porte du frigo et dégotte, ici et là, du fromage blanc et un pot de miel. Nous nous retrouvons tous deux nus, ivres, riant de notre bonheur et de notre liberté, partageant le fromage blanc avec l’unique petite cuillère propre que j’ai dégotée. Entre deux poussées de rire, alors que c’est mon tour de lui donner la béquée, il me donne du « maître blanc », accent africain néocolonial compris, auquel je réponds par un « Ta gueule, l’Arabe ! », lequel provoque la soi-disant colère de l’Arabe en question, lequel plonge les doigts dans le fromage blanc et me le projette sur la gueule ! Bref, c’est bientôt le chaos ! Si le pot de fromage avait été petite taille, no problem, mais voilà !!! King size ! On s’en est mis partout ! Au lieu de s’en indigner, beurrés comme nous sommes, nous éclatons de rire… puis nous rapprochons, et nous nous enlaçons, faisant glisser le blanc fromage sur nos corps. La petite orgie, quoi ? ! Enfin, visuellement, c’est vraiment ça ! C’est à celui qui en fera le plus. J’ai commencé à branler Abdel avec une main pleine de fromage ! Abdel, dont le visage est plus blanc que beurre, vient se frotter contre mon torse en gémissant. Nos deux queues sont bandées à mort. La situation nous excite autant l’un que l’autre. Nous cherchons comment nous pouvons nous exciter et ...