Mister Hyde - 8
Datte: 30/08/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... était placée, elle lui tournait le dos. Il pouvait donc faire ce que bon lui semblait sans qu’elle reçût d’autres informations que les sons qu’il produisait. Ceux-ci ne la rassuraient pas : elle l’entendait marcher mais elle percevait aussi un sifflement dans l’air qui n’augurait rien de bon. Elle ne comprit de quoi il s’agissait que quand la languette de cuir heurta son sexe de façon rapide et répétée. Une cravache, il utilisait une cravache pour exciter ses lèvres et sa vulve. Et cela fonctionnait ! C’était, littéralement, diabolique ! Elle écarta les jambes autant que le lui permettait l’étroitesse de la cage. Ainsi, la claquette s’insinua plus aisément entre ses cuisses et put fouetter son clitoris. Frédérique ne s’interrogea pas sur le plaisir qu’elle recevait, encore moins sur la manière. Elle était une pouliche en cours de dressage, qu’elle fût fustigée était normal et tellement… Délicieux ! Une seule chose manquait à son ravissement, la joie de pouvoir gémir. Car elle n’oubliait pas le silence auquel elle avait été condamnée : un seul souffle, et l’enchantement cesserait. Elle le savait et refusait que cela arrivât. Elle pinça fortement ses lèvres, celles de sa bouche, tandis que les autres béaient de contentement. Bientôt, tout son corps s’embrasa, elle gigota comme une damnée, se cognant sans vergogne aux parois du réduit où elle était enclose. La jouissance montait, montait et de ne pouvoir l’exprimer l’augmentait encore. Elle était sur le point de basculer, elle ...
... n’attendait qu’un mot de son Maître pour plonger dans l’ivresse. Mais le mot ne vint pas et les frappes cessèrent. Frustration ! C’était cela sa punition. Elle s’affala, désemparée, malade de bonheur inassouvi et de tout ce désir qui ne quitterait plus son ventre. *** L’après-midi fut dur, la soirée plus encore. Frédérique ne comptait plus les montée et les chutes que Frédéric lui avait imposées comme autant de vengeances perverses. Pour la deuxième fois, elle s’allongea sur le sol pour dormir et la dureté de sa couche la divertit de ses envies. Intérieurement, elle en remercia son Maître quand elle s’éveilla, mieux reposée qu’elle le crût possible. Forte de l’expérience de la veille, elle s’agenouilla devant lui quand elle le vit dans la cuisine. Ainsi put-elle prendre son petit déjeuner sans crainte d’une nouvelle sanction. Frédéric ne lui en dit mot mais il apprécia à leur juste valeur les progrès qu’elle faisait. Il attendit qu’elle ait fini de se nourrir pour se faire tailler une pipe puis il la mena au donjon où il put réveiller ses sens. Le timing fut parfait ! Elle était au bord de l’extase quand Franck se rappela à leur bon souvenir. Dépitée, Frédérique alla materner. L’après-midi les mena en forêt, distante de quelques kilomètres. Durant le trajet, Frédéric exigea que sa femelle s’assît sur son cul nu. Il voulait voir sa chatte rose et luisante pendant qu’il conduisait. Le ton, sans concession et les termes employés par son Maître, excitèrent la jeune femme plus que ...