1. La nouvelle vie d'Isabelle (1)


    Datte: 30/08/2018, Catégories: Hétéro

    Vingt minutes ! Vingt minutes que Paul rame dans le vagin de son épouse Isabelle. Celle-ci n’en peut plus, écartelée dans le très officiel « lit conjugal ». Sous sa longue chemise de nuit juste troussée à la taille, sous la couverture, le drap et le corps de son mari, la jeune femme suffoque. Elle ne lubrifie pas, ses muqueuses enflammées la brûlent. Mais qu’arrive-t-il donc à Paul ce soir ? En principe il ne lui faut guère plus de cinq minutes pour que survienne son éjaculation « réglementaire » en elle. Ah, enfin le voici. Un râle « néandertalien », et Isabelle peut enfin sentir dans sa matrice les jets de la semence maritale. Cette semence aura au moins le mérite d’agir comme un baume adoucissant pour ses parois vaginales irritées. De la bouche de Paul, sort alors un bien peu glamour : — Ah, ça fait du bien !... Cette phrase, d’une extrême banalité, exaspère Isabelle, d’autant que Paul la prononce systématiquement après chacune de ses éjaculations en elle. Banalité, et égoïsme aussi dans ce propos, car si « ça fait du bien » à Paul, celui-ci ne se soucie guère de savoir si son épouse a pris ou non du plaisir. L’orgasme ? Oui, Isabelle en a connu, au tout début de leur relation voici... fort longtemps. Voilà donc la seule phrase... d’amour (?) qui parviendra aux oreilles de l’épouse fidèle. Paul sort de sa femme, roule sur le côté, et, lui tournant le dos, va bien vite s’endormir et ronfler abominablement. Isabelle a refermé les cuisses. Elle sent le sperme lui couler ...
    ... lentement de la minette. Elle demeure un moment inerte, les yeux rivés vers le plafond de la chambre. « Faire l’amour », quelle belle expression ! En cet instant, comme elle envie sa collègue Janette, qui, sans s’attarder en détails scabreux, lui confesse qu’elle et son mari Pierre font longuement l’amour, avec à la fois passion et tendresse, et ce presque tous les jours... L’amour avec Paul, Isabelle l’a connu, voici... voici... combien de temps déjà ? Elle ne sait plus. Bien longtemps en tous les cas, TROP longtemps. Et puis la routine s’est installée. Les rapports se sont espacés, banalisés, amoindris. L’amour avec Paul, si on peut lui donner ce nom, se résume à présent en une pénétration « mécanique » de celui-ci deux ou trois fois par mois (dans le meilleur des cas). Cinq minutes d’allées et venues de Monsieur Delaval dans le vagin sec de Madame Delaval, achevées par une émission de sperme enfin apaisante, seul bon moment, et conclues presque toujours par les « tendres » paroles de Monsieur citées plus avant... Isabelle ne comprend pas. Pourtant, Paul est toujours gentil et prévenant avec elle, attentionné, lui offrant régulièrement des fleurs, des cadeaux. Alors pourquoi, pourquoi cette désaffection au lit ? Elle se lève avec précaution afin de ne pas réveiller son mari. Pieds nus, seulement vêtue de sa chemise de nuit ivoire lui descendant aux chevilles, Isabelle traverse la maison et gagne la salle de bain. Elle ôte son léger vêtement de nuit et se retrouve nue. Devant le ...
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