1. Une généreuse maman (3)


    Datte: 20/06/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... au portillon. Et tout à coup, sans prévenir, j’interférais dans le paysage sans crier gare ; moi son fils qui grandissait, la prunelle de ses yeux, j’avais des exigences qui faisaient voler en éclats les repères de son quotidien bien rodé… Seule à la maison, confortablement installée sur le grand canapé du salon, maman sirotait son Martini blanc en écoutant « Absolution », l’album de « Muse » que je lui avais fait découvrir et qu’elle adorait. Elle ne buvait jamais d’alcool la journée, mais elle s’était autorisée cet écart de conduite car elle avait besoin de faire le point, de réfléchir calmement. Elle n’avait pas mis longtemps à comprendre le genre de pensées qu’elle m’inspirait ; elle n’était pas dupe, elle savait depuis longtemps ce qu’il se passe dans la tête des hommes. C’est pourquoi elle était consternée que je la convoite à mon tour, maintenant que j’en étais devenu un moi aussi. Pourtant, malgré la panique légitime que cela lui inspirait, elle ne pouvait pas s’empêcher d’en être flattée, et beaucoup plus qu’elle ne l’aurait dû. Et c’est bien ce qui la troublait ! Elle s’est servie un autre verre, l’a posé sur la table basse à portée de main, et puis elle s’est allongée dans le canapé la tête sur un accoudoir, les jambes en appui sur l’autre. Elle a laissé son esprit vagabonder, s’est indignée quand elle s’est souvenue de mon impatience à la faire se déshabiller devant moi. Ce culot, quand même ! Elle n’en revenait toujours pas. Elle s’en voulait d’avoir cédé si ...
    ... facilement, de m’avoir obéi si rapidement, mais c’était si bon de se sentir convoitée à nouveau ; quelle récompense de découvrir le regard débordant de désir que je posais sur son corps ! Grisée par l’alcool, elle commençait à être sérieusement émoustillée. Elle était émerveillée de constater que sa libido, en sommeil depuis si longtemps, s’était brusquement réveillée. Elle était trempée, ne demandait qu’à s’embraser à nouveau. Elle a replié les genoux, a posé les pieds à plat sur l’accoudoir, et puis elle a écarté les cuisses, les a ouvertes presqu’à angle droit. Elle a glissé ses mains dans sa culotte, a replié ses doigts dans son vagin et les a enfoncés très loin, s’est triturée en même temps le clitoris en le pressant entre ses pouces. Elle a joui très vite, un orgasme animal, et le dégout d’avoir éprouvé un plaisir si coupable l’a submergée juste après. « Oh Mon Dieu, mais qu’est-ce je fais ? » Elle regardait, hagarde, ses propres doigts sans y croire ; ils étaient tout englués de mouille, recouverts par des filaments de son jus. « Mais où avais-je la tête ? Je me suis masturbée en pensant à mon fils ! » Elle sentait la crise d’angoisse qui montait, aussi a-t-elle fermé les yeux avant d’entamer la série de petits exercices respiratoires qu’on enseigne aux femmes qui accouchent afin qu’elle ne paniquent pas. Elle a repris son souffle peu à peu, a discipliné les battements de son cœur affolé. Elle a fait le vide dans son esprit, et puis elle s’est assise dans le canapé et a ...