1. Une généreuse maman (3)


    Datte: 20/06/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... calmement évalué la situation, en sirotant son verre lentement. Au diable les états d’âme ! Après tout, elle n’avait rien fait de mal. Elle n’avait rien à se reprocher, n’avait aucune raison de se blâmer. C’est lui qui avait commencé, et il était (enfin) majeur et vacciné. Elle s’est demandée jusqu’où il était capable d’aller, et puis elle a ricané quand elle a constaté que sa culotte était encore toute mouillée… Le comportement de maman m’intriguait. Elle ne fermait plus la porte de sa chambre, ni celle de la salle de bain quand je rodais dans les parages. C’était comme si elle m’invitait à la surprendre en sous vêtements, et même presque à poil. Je savais qu’elle le faisait exprès, mais je n’arrivais pas à comprendre pourquoi, alors je m’en contentais. Depuis le déshabillage presque forcé que je lui avais imposé, je faisais profil bas ; j’avais honte de moi. J’en déduisais que c’était peut-être sa façon à elle d’entretenir mes fantasmes masturbatoires sans trop se mouiller. zfqzccvj Et puis elle est montée d’un cran. Elle a commencé à venir me réveiller tous les matins en robe de chambre, ou enveloppée dans la sortie de bain qu’elle avait retirée suivant mes ordres. Je me demandais si elle m’allumait volontairement, ou si au contraire je me faisais des idées, mais j’étais constamment en érection. Elle me rendait fou. Un matin, alors qu’elle s’était assise au bord de mon lit, je me suis brusquement retourné et je l’ai empoignée par le bras pour l’attirer sur moi. Elle ...
    ... a poussé un petit cri de stupeur, mais je l’ai installée aussitôt sur le dos et je l’ai immobilisée, avant de m’allonger de tout mon long sur elle. J’étais stupéfait par mon audace, mais elle l’était encore plus que moi car elle n’a pas bougé, ni même rouspété ; elle s’est contentée de me dévisager de ses grands yeux étonnés. Durant notre empoignade, les pans de sa robe de chambre s’étaient écartés. Sa chemise de nuit, très échancrée, avait bien du mal à dissimuler sa généreuse poitrine. Ses gros nichons palpitaient sous moi, au rythme de sa respiration saccadée. Elle haletait, se débâtait, mais ses gesticulations désordonnées ne faisaient que m’exciter davantage. Vautré sur elle, ivre de désir, j’ai rabattu les fines bretelles pour libérer sa poitrine, et j’ai enfoui mon visage entre ses seins que j’ai pressés contre mes joues. Comme maman ne disait rien, qu’elle se laisser faire, je suis devenu plus entreprenant. J’ai agacé du bout de la langue ses mamelons, passant alternativement de l’un à l’autre. Je léchais les aréoles, aspirais les tétons qui s’allongeaient et durcissaient entre mes lèvres. Tout en lui suçant les bouts, j’ai empaumé ses nichons par en dessous. Je les ai triturés, les ai malaxés, incapable de me rassasier de leur volume qui ployait sous mes doigts. J’ai longtemps tété ma mère, avec la même volupté et les mêmes reflexes que quand elle m’allaitait quand je n’étais qu’un bébé. Elle n’était pas une femme comme les autres, loin de là, et j’en avais la ...