1. Mirna et Pablo (deuxième partie)


    Datte: 03/09/2018, Catégories: Masturbation Inceste / Tabou

    MIRNA ET PABLO (deuxième partie)Bonne nuit, Pablo. Lui dis-je, avec ma petite voix de chatte mielleuse. Et me penchant sur lui, je l’avais embrassé sur la joue.Bonne nuit, Sandra. Me répondit-il, sans bouger, impassible.Quelques longues minutes suivirent, dans un silence sépulcral. Il ne bougeait pas. Moi, non plus. Mon excitation n’arrêtait pas de croitre. Je sentais mon corps en ébullition. Mes mamelons se sont mis à durcir, malgré la chaleur étouffante. Mon vagin fabriquait de la cyprine en quantité industrielle. Ça ne pouvait pas continuer comme ça. J’avais trop envie de sexe ! Soudain, je sentis qu’il bougeait, qu’il se retournait et qu’il venait se coller contre mon dos. Je suis restée immobile, j’avais, même, cessé de respirer. J’allais pouvoir, enfin, remplacer Mirna et sentir les mêmes sensations que cette maman i****tueuse. Il posa une main sur ma cuisse et la laissa, figée sur ma peau. Je transpirais à flots. Mon odorat captait les phéromones que nos corps dégageaient. Je n’avais qu’une envie : enlever cette saloperie de t-shirt et ce fichu pyjama qui nous empêchait de souder nos épidermes.Alors, sa main commença à se déplacer sur ma cuisse, d’abord vers le bas, ensuite vers le haut, soulevant à son passage le tissu de mon t-shirt. De façon à peine perceptible, je levai un peu mon bassin à fin que sa main puisse remonter jusqu’à mes fesses. La paume de sa main était moite, chaude. Elle continua et se posa sur mon ventre. Son sexe devint tout dur, frappant aux ...
    ... portes de mon petit cul. Sa main continua l’exploration de mon anatomie. Se posa sur mes seins, les pressant doucement. Discrètement, je me suis accommodée pour permettre à sa verge –toujours sous la couverture de son pantalon- de se placer entre mes fesses. Lorsque, je me demandais comment Mirna faisait pour supporter ce calvaire, Pablo me surprit par cette phrase :Tu n’es pas comme ma maman.Que pouvais-je lui dire ? C’était vrai. Mirna était très différente à moi. Elle avait de grosses cuisses, un cul énorme, beaucoup de ventre et une paire de mamelles qui doublaient, minimum, la taille des miennes. Ceci dit, la dureté de sa queue, me laissait croire que malgré tous ces « inconvénients » physiques, son cerveau autiste envoyait à son appareil reproducteur les messages « covenants »Non, tu as raison, Pablo. Ta maman est très belle et une très bonne maman. Elle t’aime beaucoup……Mais, moi, j’aime beaucoup que tu me caresses comme tu fais avec ta maman… Tu n’as pas chaud, Pablo ?SiTu n’enlèves pas ton pyjama quand tu es au lit avec ta maman ?SiEt elle ? Elle n’enlève pas sa chemise de nuit ?Si…Il était temps. On allait passer aux choses sérieuses. Doucement, sans trop se précipiter. Donc, d’abord je retirai le drap qui nous couvrait. Après, je me suis débarrassée de mon t-shirt. Les goutes de sueur dégoulinaient entre mes seins. Pablo me zieutai, à moitié assis sur le lit. La pénombre ne nous permettait pas de distinguer autre chose que le contour de nos corps.Puis-je allumer la ...
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