1. Mirna et Pablo (deuxième partie)


    Datte: 03/09/2018, Catégories: Masturbation Inceste / Tabou

    ... de quelques poils aussi noirs que ses cheveux. Je me suis inclinée et lui embrassé. Un petit sursaut de son bassin, me fis croire qu’il n’était pas indifférent à ce genre de caresses. Du bout de ma langue, je lui léchai l’anus. Il s’était lavé à conscience, le petit, pensai-je. Il geignait, comme un murmure de plaisir.Maman te caresse comme ça ? Lui demandai-je en lui enfonçant mon index.Non, elle ne me fait pas ça…Et… Tu lui fais à ta maman ?Non… Devant, ouiRetourne-toi, Pablo… Il est temps que je m’occupe de ta merveille.Comme je le supposais, son érection n’avait pas diminuée d’un millimètre. Au contraire, sa bite me paraissait plus gonflée et son gland luisant apparaissait comme une balle de ping-pong rougeâtre. D’entrée, je saisis son sexe dans ma main, toujours à genoux mais à coté de lui. Je n’arrivais pas à fermer ma main autour de son phallus. Je le serrai très fort, sentant sa dureté, sa chaleur, comme un tisonnier brulant… Et je me suis mise à le branler. Fort. Sa bite d’étalon était mon shaker !Comme ça, oui ?Oh ! Oh ! Pas… Oh ! Pas si fort… Oh !Je le regardais. Sa respiration était de plus en plus agitée. Il bombait le torse, comme si l’air lui manquait. Il gémissait ; une longue litanie de geignements de plus en plus en plus forts devinrent de vrais hululements… Sa mère devait sans doute les entendre. Et cette idée, m’excitait davantage. Alors, je ...
    ... parquai l’idée du départ, celle de m’empaler sur lui, celle de le dépuceler à la première occasion, et je me suis concentrée à le faire jouir…J’ai eu beaucoup de mal à trouver une onomatopée qui soit fidèle à cette espèce de cri, de hurlement, de soufflement, ou d tout ça à la fois, que la gorge de Pablo avait exhalé au moment de l’orgasme. Ce que je peux dire est qu’il était ahurissant et qu’il s’était accompagné par une décharge de sperme comme j’en avais vues de très peu, dans ma longue existence de masturbatoire !Comme un geyser, le premier jet est parti, à la verticale, long, très blanc. D’un acte reflexe, j’avais incliné son pénis en l’orientant vers son torse. Le deuxième jet décrit une parfaite parabole et alla s’écraser contre la base de son menton. Il y en avait eu trois au quatre d’autres, de giclées, moins puissantes… Peu importe. Tout ce foutre s’était éparpillé par son torse et son ventre. Gaspillé ? Pas avec moi !Maintenant, je comprends ce que ta maman veut dire quand elle t’appelle « mon étalon »Merci, Sandra. Me dit Pablo avec une toute petite voix. Qu’il était mignon !De rien, chéri Bouche pas… Sandra va te nettoyer bien comme il faut !Je me suis régalée ! Comme un chaton assoiffé lapant son assiette de lait ! Un délice !Maman te nettoie comme ça ? Lui miaulai-je, récupérant au creux de son nombril, les dernières goutes de ce divin nectar.A suivre… 
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