1. Burnes out


    Datte: 03/09/2018, Catégories: h, fh, fhh, couple, couplus, extracon, copains, telnet, vengeance, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation Oral humour,

    ... instable du plaisir. Puis un long cri de jouissance lui échappe, alors que sa vulve bouillante et trempée se contracte contre ma main. Immobile sur moi, elle profite jusqu’à la dernière des vagues de plaisir qui la parcourent. Je contemple son corps offert sans retenue, me saoule de l’odeur de sa jouissance. Les frémissements de sa main se propagent délicieusement sur ma verge. Il n’en faut pas plus pour que je la rejoigne dans l’orgasme. Je me vide d’un coup entre ses doigts, tremblant comme une feuille, puis retombe au sol dans un dernier soubresaut. Je reste étendu, sonné par l’intensité de ce que nous venons de partager. Elle me garde dans ses mains jusqu’à ce que je m’apaise, contemplant le spectacle de mon corps chamboulé. Puis elle se lève sans hâte. Les jambes écartées, elle avance jusqu’à hauteur de mon visage et me fait profiter encore un peu du dessin de sa fente au travers de la dentelle mouillée du tanga. Quelle verve, quelle puissance ! Je ne doute pas qu’il ait écrit ces lignes la queue encore humide des jus de sa femme, les sens en déroute et le rouge de l’orgasme au front. Des phrases de ce type ne peuvent se composer qu’à chaud, très à chaud. J’en veux pour preuve la trique qui me torture, à l’instant où je relis son texte surClitteraire. oooOOOooo Le seul problème, c’est que dans un couple aussi fusionnel que le sien, une telle agitation littéraire ne pouvait pas rester longtemps secrète. Tôt ou tard, il aurait dû en parler à sa femme. Ce qu’il omit de ...
    ... faire. La catastrophe se produisit il y a quelques semaines. Aude s’était couchée avant lui, le laissant seul devant la télévision. Pensant la surprendre agréablement d’un câlin impromptu, il alla la rejoindre pendant une pause publicitaire, mais la trouva profondément endormie. Malgré le désir qui le tenaillait, il n’eut pas le courage de la réveiller. Le ventre tendu, il se mit devant son ordinateur et, une fois n’étant pas coutume, décida d’expérimenter l’activité créatrice dans la plénitude. Se prenant trop intensément au jeu de rédaction de ses fantasmes, il ne résista néanmoins pas longtemps avant de copier les gestes de son héros principal, érotomane avéré et habile masturbateur. Sa verge trop rigide dans son pantalon l’empêcha de se concentrer suffisamment sur son œuvre. Il tenta un moment de se raisonner, par respect pour l’art. Mais l’appel de la chair fut trop fort. N’y tenant plus, il lâcha prise et mit fin à l’expérience, s’épanchant en larges rasades dans le creux de sa main. À peine remis de cette branlette hygiénico-littéraire, il fila à la salle de bain, sans penser à enlever le texte de l’écran. Sa femme se réveilla en l’entendant marcher dans la maison. Prise d’un soudain désir amoureux, elle se glissa dans son bureau avec le secret espoir de l’émoustiller d’une gâterie bien méritée. Lorsqu’elle pénétra dans la chambrette, elle s’étonna de ne pas sentir l’odeur caractéristique de la masturbation intellectuelle, subtil mélange d’odeurs de tabac froid, de sueur ...
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