1. Les animaux de Priape (4)


    Datte: 03/09/2018, Catégories: Zoophilie,

    Je me réveillai à cause du bruit. Il faisait noir et je ne voyais rien mais j’entendais les cris de ma femme et ses encouragements. Elle dérouillait encore. Je me demandai bien qui de Pacôme ou d’Aldéric était en train de la monter : "Oh Ouiiiiiiii, enfonce-moi, pénètre-moi. J’aime ta queue..... Elle est bonne ta bite, oui, comme cela, jusqu’aux couilles, pète-moi la raie.... encore, bourre-moi bien là, oui, vas-y y j’aime les bonnes grosses queues comme la tienne....". Je me mis à bander. Je portai la main à mon sexe et je sentis les croutes de sperme séché qui recouvraient mon corps, mon pubis, et jusqu’au poil de mes cuisses. A l’inverse de ma femme, l’obscurité était impénétrable. Je m’approchais donc à tâtons en me fiant au son. J’entendis le râle puissant de l’homme et ses gémissements gutturaux. Sa voix était très puissante et grave. Mais, avant d’arriver jusqu’au couple, je fus saisi par deux bras vigoureux et soulevé de terre. Je poussai un cri de surprise et de peur. Je fus transporté en hauteur et, en un tournemain, je me retrouvai attaché sur la chaise en hauteur. Cependant, l’homme qui sautait ma femme s’était mis à parler dans un langage que je ne comprenais pas alors que son acolyte qui dégageait beaucoup de chaleur et une puissante odeur animale m’attachait solidement au dossier et aux accoudoirs. Ma femme répondait par des cris de plaisir et je ne voyais toujours rien. J’avais beau demander ce qu’il se passait, je n’obtenais aucune réponse. Peu à peu, une ...
    ... lueur venue du fond de la salle vint dissiper les ténèbres et je me mis à distinguer des ombres. Il me sembla que ma femme ne touchait plus terre, suspendue au bras d’un géant qui la maintenait tout en la baisant. Peu à peu, à mesure que la lumière, de plus en plus chaude et vive, me révélait le tableau, je réalisai, mais sans y croire complètement encore, ce que je voyais. La statue du faune était descendue de son socle et s’était animée, mais le monstre de chair était deux fois plus grand que le bloc de pierre. Il faisait le double d’un homme. Il paraissait encore plus puissant. Ses cuisses épaisses et très poilues étaient campées de sorte qu’il se maintenait sans bouger, jambes bien tendues. L’énorme paire de couilles avait une toison aussi abondante que celle qui recouvrait les cuisses, les avant bras et le creux des pectoraux entre les deux seins. Exactement comme s’il soulevait une plume, il faisait aller et venir ma femme sur son manche dont je voyais, au bout d’une courbe magnifique, l’énorme extrémité ourlée disparaître dans la fente qui ruisselait abondamment, la cyprine formant déjà une petite flaque sur le sol. Fasciné par ce spectacle torride je mis du temps à m’apercevoir que la statue de Méfistophallos avait aussi disparu. C’est alors que je le vis au dessus de moi. Il s’était accroché sur le dossier de ma chaise, exactement comme un oiseau se serait mis sur son perchoir. En levant ma tête et regardant vers la voûte, je pouvais voir son énorme sexe bandant. De ...
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