Les animaux de Priape (4)
Datte: 03/09/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... toute ma vie je nai vu une bite aussi parfaite, l’expression du sexe masculin dans sa plus ample virilité. Il avait, de plus, une particularité physique que la statue ne mettait pas en valeur. Il était doté de deux paires de couilles presque soudées l’une à l’autre. Pendant que l’une pendait très bas, l’autre remontait lentement jusqu’à ce que les les deux testicules forment d’énormes excroissances de part et d’autre du sexe en érection. Sa peau était noire comme du charbon. Sa langue très rose et d’une inimaginable agilité pendait de sa bouche et il jouait avec l’entortillant autour de son sexe, jouant à titiller son gland, récoltant sa propre mouille et l’avalant avec des bruit de succion et de contentement. Puis il se courba. Les testicules les plus bas étaient si proches de mon crâne que je sentais la chaleur qui rayonnait de son corps. Puis sa langue descendit comme un reptile baveux. Elle était très fine et très nerveuse, d’une extraordinaire mobilité. Il me caressa les tétons de son extrémité. Je ne pouvais rien faire. Puis, sa lécheuse glissa sur mon ventre, s’insinua dans les poils de mon pubis et elle s’enroula lentement autour de mon sexe dressé, comme une liane autour d’un tronc. J’étais plus qu’inquiet et Aldéric n’était pas là pour me rassurer, pas plus que Pacôme. J’étais crispé mais la peur ne m’empêchait pas de connaître une vigoureuse érection, d’autant que la langue, en continuant sa progression vers mon gland, me serrait davantage à l’image d’un serpent ...
... constricteur qui aurait commencé à étouffer sa proie. Pourtant, le contact en était doux comme de la soie et j’éprouvais comme des picotements et une hausse de température. Quand la langue fut arrivée au méat, elle commença à le chatouiller et pénétra das l’urètre mais sans aucune douleur, au contraire. Ce que je ressentais était un mélange de plaisir et de désagrément mais, très vite je ne connus plus qu’un état d’ivresse, une sorte d’orgasme très très lent, prolongé, intense. J’étais comme drogué, dans un état second et il me sembla que ma bite s’agrandissait progressivement, qu’elle gagnait en longueur et en circonférence, qu’elle devenait plus dure et plus lourde, à l’instar des couilles qui subissait la même métamorphose. Pendant ce temps, le faune avait posé ma femme à terre et se masturbait avec énergie entre les nichons dont le volume trahissait l’état d’excitation. Le gros nœud luisait, splendide et triomphant. Un filet blanc ténu s’échappait sans arrêt de son extrémité. Enfin, il explosa en un geyser de foutre dont les retombées recouvrirent les seins, les épaules le cou et le visage de la bienheureuse victime qui en fit son régal, ouvrant sa bouche très large pour recevoir ce qu’elle put et se passant ensuite la langue sur les lèvres pour recueillir le précieux nectar. Au moment où le faune jouit, Méfistophallos relâcha son étreinte. Sa langue se retira de mon sexe, en suivant à l’envers évidemment le même chemin qu’elle avait suivi pour en prendre possession, mais ...