1. Nuit blanche


    Datte: 04/09/2018, Catégories: fh, ffh, Oral pénétratio, fsodo, humour, fantastiqu, fantastiq,

    ... au soleil… Mais là, il était six heures du mat, il commençait à faire jour, et j’étais trop crevé pour y penser. On verrait ça demain… Je caressai un instant les fesses d’Aurélie. — Pour l’instant je vais déjà t’emmener jusqu’à ton lit…— Oh oui ! Faisons l’amour ! Juste tous les deux… Pfffiouuuh ! Six heures du mat et ça faisait vingt-quatre heures que j’étais debout en ayant dormi deux plombes à tout casser la nuit d’avant, et j’avais déjà baisé trois fois depuis avec des filles frénétiques… J’étais pas non plus Superman… — Tu crois ? risquai-je. Mais elle était déjà en train de m’astiquer. — Et puis il est tard… ajoutai-je. Elle ouvrit mon peignoir et le fit glisser à terre. D’un autre côté, j’étais trahi par ma bite qui se regonflait quand même peu à peu… Sans un mot, Aurélie m’entraîna par la main jusqu’à sa chambre et me fit m’allonger sur le lit, où elle grimpa aussi pour se mettre à quatre pattes, le visage à hauteur de mon sexe qui se durcissait toujours et qu’elle prit dans sa main. Bazouk entra à son tour et vint se camper à deux mètres de nous, ce qui, malgré l’habitude que j’avais de sa présence, eut plutôt comme effet de me faire ramollir. Aurélie me lança un drôle de sourire, que je jugeai graveleux. — Bazouk, tu veux bien m’aider ? fit-elle soudain sans me lâcher. Gufti est un peu raplapla…— Ah non ! beuglai-je. Mais personne ne m’écoutait dans cette baraque et je vis un petit éclair me foncer dessus et me toucher sans provoquer la moindre douleur. (C’était ...
    ... même plutôt agréable, en fait…) Instantanément, ma queue se dressa, tendue et raide comme jamais elle ne l’avait été, dans la main d’Aurélie. — Ah, je préfère ça… acclama cette dernière avec un nouveau sourire libidineux.— Pffff ! Et elle se mit à me sucer avec avidité. Je me détendis complètement, fermant les yeux. Bah, au pire, j’allais dormir et elle pourrait continuer autant qu’elle voudrait… Mais je réalisai soudain que je n’étais plus du tout fatigué, je me sentais même en pleine forme. Le sort de Bazouk ne s’était pas limité à me filer la gaule, il m’avait carrément complètement requinqué. C’était pas mal, ça, dis donc ! Je savourai un instant la merveilleuse pipe que m’offrait Aurélie, puis elle vint bientôt s’allonger sur moi, écartant quelque peu les cuisses pour s’empaler sur mon sexe toujours ultra rigide. Et nous fîmes doucement l’amour, tendrement, longuement ; d’abord lentement, presque délicatement, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort, variant les positions jusqu’à jouir tous deux en même temps dans des hurlements entremêlés. — Je t’aime… me dit encore Aurélie. Et puis Bazouk nous accueillit quand on redescendit sur terre : — Bravo ! C’était vraiment beau !— On t’a pas sonné !— Merci pour le coup de main, fit Aurélie en lui lançant un clin d’œil et un sourire qui le firent clignoter.— Pffff ! fis-je encore en regardant ma bite qui ne dégonflait pas d’un iota. Aurélie s’en était également aperçue et se payait ma tête : — Oh mon Gufti ! Je vois que tu ...
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