1. Nuit blanche


    Datte: 04/09/2018, Catégories: fh, ffh, Oral pénétratio, fsodo, humour, fantastiqu, fantastiq,

    ... as encore envie de moi… Comme c’est excitant !— Dis donc, Bazouk, ça va durer longtemps, ça ?— Non, ça finira par passer et tu devras quand même sans doute dormir un peu. Mais en attendant, profites-en ! Je regardais Aurélie qui se caressait doucement les seins en rêvassant à moitié. Je repensais aussi à Azura et à Pandore qui dormaient à l’autre bout de l’appart… Mouais… finalement, il avait raison. Mais d’un autre côté, les filles seraient peut-être pas complètement ravies d’être réveillées à coups de bite… Et puis aussi j’avais quand même vraiment envie de dormir. C’était bizarre, d’ailleurs, parce que j’avais effectivement juste "envie" de dormir, et plus "besoin". Mon regard retomba sur Aurélie qui continuait à se peloter doucement, les yeux dans le vague. — Ma chérie, lui dis-je en prenant un ton cérémonieux, comme c’est grâce à toi que je suis dans cet état, je vais m’offrir ton petit cul ! Elle ne répondit rien et continua de se caresser les seins, mais cette fois plus ardemment et en me fixant droit dans les yeux. Puis elle se lécha les lèvres en trémoussant son bassin avec provocation. Je la fis se retourner et s’agenouiller et me mis derrière elle pour la doigter doucement. De ma main libre, je parvins à ouvrir la table de nuit où je savais qu’Aurélie planquait des capotes. Et j’y trouvais même du lubrifiant. Parfait ! En continuant de la doigter, je m’enfilai péniblement un préservatif (ils étaient trop petits, ceux d’Aurélie… je sais pas qui elle avait ...
    ... l’habitude de voir, mais moi, il m’en fallait des plus grands…) et réussis à ouvrir le tube de gel ; je lui en déposai un peu sur le derrière et commençai à masser doucement son anus. Quand elle fut prête, je pénétrai lentement son petit trou, laissant Aurélie bouger à son gré, imprimer les premiers mouvements. Et bientôt je la défonçai avec force tandis qu’elle ahanait à chaque va-et-vient. Elle aimait ça, la cochonne ! Et c’était bon ! Étroit, serré, excitant… — Ah bah vous êtes là ! entendîmes-nous soudain. Nous sursautâmes en voyant arriver tranquillement dans la chambre son emmerdeuse de mère qui décidément n’en loupait pas une… — Je pensais que vous dormiez, mais vous étiez en pleine action… J’hésitais à me retirer et à me planquer sous la couette, mais c’était peut-être finalement moins obscène de ne pas bouger et de rester collé contre Aurélie, la queue bien plantée en elle. Ma partenaire dut se dire la même chose, car elle demeura parfaitement immobile. — Maman, tu fais chier, tu pourrais prévenir quand tu débarques…— T’aurais dû lui confisquer ses clés… reprochai-je à Aurélie.— Vous inquiétez pas pour moi, continuez, faites comme si j’étais pas là…— Ben c’est facile à dire… La mémère nous contourna pour observer minutieusement ce que nous étions en train de faire. — Ah mais il t’encule ! J’avais pas vu… T’es une sacrée cochonne, dis donc, toi, hein ! À ton âge, j’étais plus sage… Ça promet ! Oh là là ! Et en prime, elle puait la bibine ! — Maman, tu veux bien nous laisser un ...