Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà (9)
Datte: 04/09/2018,
Catégories:
Divers,
... tout en essayant de baisser sa culotte. Eva accède à mon désir, en la faisant glisser le long de ses jambes, avant de l’enjamber. Puis, je retrousse sa minirobe jusqu’en haut des hanches, dénudant son bas- ventre. « Bob, ce n’est pas sage de vouloir faire ça ici….Tu n’as rien pour protéger… » Eva, comprenant ma frustration, s’écarte un peu de moi, puis ouvre la braguette de mon pantalon. Une fois le slip écarté, elle en sort ma queue, déjà raide. Puis elle se met à genoux dans l’herbe, et ouvrant sa bouche, elle gobe le gland décalotté et se met à le sucer, avant de rentrer une bonne moitié de ma queue dans sa bouche. Puis, avec application, comme une leçon bien apprise, elle imprime des allers - retour réguliers sur mon pénis. « C’est bon, chérie ! C’est joli ce que tu fais ! Oui ! Encore, chérie ! Encore ! » Elle s’applique avec une constance que je ne lui connaissais pas. Inconsciemment, je me demande ce qui va se passer quand je vais jouir. Pour le moment, ma bite va et vient dans sa bouche : « Oh oui ! Oh oui ! Chérie ! C’est bon ! C’est bon ! Je vais jouir ! Je vais jouiiiir ! » Je sens mon foutre gicler… dans la bouche d’Eva, qui a sucé jusqu’au bout, sans chercher à s’écarter. Je suis à la fois stupéfait et ravi, de la voir s’efforcer d’avaler mon foutre. Puis, elle se relève. « Tu es adorable, mon amour ! » Lui dis-je, en l’embrassant sur la bouche. Elle ramasse sa culotte, restée sur le sol, et nous rentrons dans la maison. Le reste de la soirée se passa ...
... tranquillement. Par moment, Eva m’adressait un petit sourire complice. Jeudi 13 juillet. Le temps est encore beau et chaud même. Vers 10h, nous nous apprêtons à sortir. Elle a revêtu une minirobe orange et blanche avec des manches courtes, qui lui arrive à mi-cuisses. C’est une robe qui doit s’enfiler par la tête, le boutonnage s’arrêtant à la taille. Elle porte une paire de lunettes aux verres fumés et de forme ronde, ce qui lui donne un air un peu mystérieux. Aux pieds, des sandales beige avec des petits talons et maintenues par des lanières s’enroulant autour des chevilles. Du plus bel effet. « Comment me trouves-tu ? » demande- t-elle, alors que nous franchissons le portail. « Très jolie robe ! Et ces lunettes te vont bien ! Tu ressembles à une vedette de cinéma ! » Dis-je, ravi de pouvoir ainsi la complimenter. « Tu vas penser que ma robe n’est peut-être pas assez courte pour toi –dit-elle en regardant ses jambes- mais… je n’ai rien dessous… Et, en plus, c’est la première fois que je sors comme ça en ville, et à Prague ! » « Tu n’as vraiment rien, dessous ? » « Non… Juste la robe, rien d’autre… C’est ce que tu voulais, non ? En fait j’ai hésité longtemps ! C’est pour ça que j’ai mis cette robe : j’ai l’impression que je cours moins de risques avec ! » Dit-elle, amusée. Puis, alors que nous marchons, elle ouvre son grand sac à main, en osier : « Si j’ai de l’audace, j’oserais la porter un moment… » Elle me montre un vêtement en coton bien plié. Il me semble reconnaître la robe verte ...