1. Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà (9)


    Datte: 04/09/2018, Catégories: Divers,

    ... main droite entre ses cuisses, elle les écarte. Mes doigts touchent son sexe. Elle allume une cigarette, pendant que mes doigts se glissent entre les lèvres. Quand elle sent mes doigts agacer son clitoris, Eva se contracte légèrement : « Vas doucement ! Tu sais que je fais assez de bruit, quand… » Elle pouffe de rire. Se faire masturber dans un lieu public ne lui déplait pas. Mais qu’on puisse la remarquer, la retient un peu. Maintenant, j’ai deux doigts qui caressent son clitoris. Eva se tortille un peu sur la banquette tout en se mordant les lèvres. Mais elle ne parvient pas à maîtriser totalement ses halètements. « Bob, arrêtes ! Je ne peux plus tenir ! On va nous remarquer… » Je poursuis encore quelques secondes, avant de m’arrêter un instant. Puis, ma main, toujours entre ses cuisses, reprend la masturbation, jusqu’à ce qu’elle ne parvienne plus à se contrôler. Et le manège se répète ainsi plusieurs fois. Dans le même temps, Eva me masse le sexe à travers la braguette, avec sa main gauche. Ainsi, nous nous faisons plaisir, mutuellement. Vers 13h, nous sortons du restaurant pour aller visiter le musée National, situé en haut de la place. Nous y passons près de trois heures à voir les expositions. « Quelle heure est-il ? » me demande Eva, alors que nous achevons la visite d’une galerie. « Presque quatre heures ! » « Nous allons arrêter la visite. Cela nous laissera le temps de voir le pont Charles et faire une petite promenade avant de rentrer ». Elle tapote son sac : « ...
    ... Les toilettes sont à l’entrée du musée… Je ne sais pas si c’est de l’audace ou de la sottise, mais je vais mettre cette robe… Tu n’attends que ça, hein ? » Toujours cet esprit taquin. Eva entre dans les toilettes des femmes. Se changer ne devrait lui prendre que quelques minutes. J’attends devant l’entrée. En fait, il est un peu plus de 16h15, quand Eva ouvre la porte et sort. Et aussitôt, cette vision me saute aux yeux : la minirobe verte est vraiment très courte, peut-être dix centimètres de moins que l’autre. Elle se boutonne entièrement de haut en bas. Avec cette petite ceinture en tissu, elle moule un peu plus ses formes. Ses seins tendent le tissu et les tétons pointent. Bien qu’un peu gênée, elle m’adresse un sourire, qui se veut un peu coquin. « Tu es vraiment mignonne comme ça ! » compliment murmuré, tant je suis ébloui. Les joues en feu, elle s’accroche à mon bras, et nous partons en direction du pont Charles. Le trajet révèle quelques détails aguichants : le balancement des seins, plus voyant durant la marche, indique l’absence de soutien-gorge. Quant au bas de la mini il arrive à peine à dix centimètres au -dessous des fesses, obligeant Eva à se tenir droite en toute circonstance sous peine de révéler aussi l’absence de culotte ! Peu après 16h30, nous arrivons devant le fameux pont Charles, datant du XIVème siècle. Nous traversons d’abord le pont (environ 500mètres). Puis nous revenons en arrière pour le voir en détail, avec toutes les statues érigées sur ses bords. ...
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