Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà (9)
Datte: 04/09/2018,
Catégories:
Divers,
... A un moment, Eva s’accoude à la rambarde du pont et se penche pour voir un bateau qui passe : juste ce qu’il faut pour que sa robe, remontant un peu, laisse apparaitre une partie de ses fesses nues. Spectacle très agréable ! Aussi, quand elle s’assoit un instant sur un banc de pierre à l’entrée du pont : ses jambes sont entièrement dénudées, et il est fort possible que des voyeurs bien placés aient aperçu sa chatte. Devant cette situation qu’elle juge, finalement, inconfortable, elle finit par faire une proposition : « On va se promener vers les quais ? On sera plus tranquille, non ? » J’acquiesce à sa demande et nous quittons le pont Charles, pour descendre vers les quais. Ici, tout es plus calme, et tout naturellement, Eva se serre contre moi, Eva que j’enlace à mon tour. Et de sentir son corps nu sous sa robe, m’excite. Tout en marchant, main droite glisse sous sa robe, sur ses fesses rondes que je palpe avec délectation. Eva me laisse faire, jusqu’à ce que, me saisissant par la main, elle m’entraîne : « Viens, je me souviens que, dans ce quartier, il y a un endroit où on peut être tranquille ! » Deux cents mètres plus loin, on arrive devant un parking, où stationnent quelques voitures. Au fond, on devine un petit édifice. Eva s’en approche… Elle se souvient avoir dû venir ici, par nécessité : et pour cause, ce sont des toilettes. Eva ouvre la porte de la partie réservée aux femmes. Une seule cabine, assez grande, le tout relativement propre. Une fois nous deux entrés, ...
... elle ferme la porte de la cabine avec un verrou. « Ce n’est pas l’endroit idéal, mais… » Eva essaie de se justifier. Elle ne voit pas, qu’en fait l’endroit est, pour moi, excitant à souhait. « Tu penses qu’on sera tranquille, ici ? » dis-je pour commencer. « Sans doute, on voit bien qu’il n’y a guère de monde par ici, à part les gens des voitures… » « Alors, mets-toi toute nue, chérie ! » dis-je d’emblée. Je regarde Eva dégrafer sa minirobe, puis l’enlever et la suspendre à un clou qui sert de penderie. Ses jolis seins et son sexe poilu apparaissent. « Enlèves tes sandales aussi ! Je te veux totalement nue ! » « Le sol n’est pas propre ! » objecte- t-elle, avant de les retirer. « Défais aussi ta coiffure ! Je te veux nature ! » Là, Eva proteste un peu : « Je vais devoir me repeigner après, je ne sais pas si je pourrais ! » Mais ses cheveux tombent sur ses épaules. « Tu ne sais pas combien tu es bandante quand tu es comme ça ! Regarde ! » « J’ouvre ma braguette et sort ma queue de dessous le slip. Elle se dresse aussitôt, faisant honneur à la nudité d’Eva. « Assieds-toi sur la cuvette …et suces ! » dis-je en lui présentant ma pine, le gland décalotté, à hauteur de son visage. Eva, la prends dans sa bouche, comme elle l’avait fait au jardin, et se met à sucer. « Hmmm ! Tu commences à faire ça bien, ma chérie ! » Je la laisse agir un moment : Maintenant, lèves toi et offres- moi ton cul ! Je veux ton petit trou ! » Elle se lève, me tourne le dos et se penche en se tenant au tuyau ...