1. Galipettes à l'anglaise


    Datte: 30/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Avec soulagement, Mireille ferma la porte de sa salle de classe. Enfin, la journée d'école était terminée. Les gamins avaient été insupportables, comme toujours quand la fin de l'année scolaire approche. Tous les mêmes, qu'ils soient issus d'un village comme celui où elle enseignait, au fin fond du Limousin rural, ou d'une ville où elle était en poste à ses débuts. L'avantage dans cette campagne, c'est qu'elle pouvait se détendre tout de suite en sortant. Sa maison était à deux pas, un peu à l'extérieur du village. Elle y entra pour se changer et troquer son pantalon et sa tunique contre un short et un débardeur. Elle se regarda dans la glace en slip et soutien-gorge. Elle venait d'avoir trente ans. Oui, déjà trente ans. Elle repéra quelques petites rides au coin des yeux. La fatigue, sans doute. Son corps, en revanche, demeurait intact. La nature ne l'avait pas trop pénalisée. Avec son abondante crinière brune et frisée, elle ressemblait toujours à l'étudiante qu'elle avait été. Ses seins fermes, ses jambes longues et musclées de sportive, son ventre plat, ses hanches raisonnablement rondes, il n'y avait rien là qui puisse décourager un homme. Mais des hommes, ici, il n'y avait point. Le désert de Gobi. Du moins ceux qui n'étaient pas mariés et donc consommables. Au début, à son arrivée, elle s'en fichait bien. Elle avait demandé sa mutation après la rupture avec son compagnon, coupable d'une relation adultère avec celle qu'elle croyait sa meilleure amie. Le coup ...
    ... classique. Plus jamais ça, avait-elle juré. Le célibat ad vitam aeternam. Elle était restée plus d'un an sans la moindre relation sexuelle et elle n'en avait ressenti aucun manque. Tout en elle se concentrait sur son travail d'institutrice. Pardon, de professeure des écoles. Et puis, à l'occasion des vacances scolaires et d'un voyage de groupe au Sri Lanka, elle avait copulé avec le guide autochtone, une véritable liane qui l'avait touchée et léchée là où personne n'était jamais allé. Le diabolique ceylanais avait réveillé ses sens et la deuxième année dans le village s'était déroulée avec une désagréable sensation de manque au niveau du bas-ventre. Elle avait recommencé à se masturber, avait même commandé un gode sur internet (emballage discret, merci). Mais l'année s'était déroulée sans homme comme la précédente. ******** Un événement avait toutefois contribué à modifier son petit train-train. Un jour qu'elle se promenait dans la campagne, elle était tombée sur une femme peintre en train de coucher sur la toile un de ces paysages de bocage dont le Limousin n'est pas avare. Une conversation s'était engagée. La femme, d'origine anglaise et prénommée Janet, vivait dans un hameau voisin avec son mari, lequel profitait de ses rentes. Agés d'une cinquantaine d'années, ils fréquentaient essentiellement des membres de leur communauté, ce qui expliquait pourquoi Mireille ne les connaissait pas. Mais le français impeccable de Janet et sa volonté de lier connaissance avec les gens du village ...
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