1. Galipettes à l'anglaise


    Datte: 30/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... avaient permis d'établir des relations suivies avec l'institutrice. Celle-ci était devenue une habituée du "cottage" des Burton, toujours ravis d'avoir sa visite. Elles s'était vite aperçue que ses nouveaux amis n'étaient pas des gens ordinaires. Leur comportement avait d'ailleurs attiré défavorablement l'attention de quelques ruraux qui dénonçaient une manière de vivre peu conforme aux us et coutumes du lieu. Seule leur qualité d'artiste (John Burton peignait aussi) avait permis une relative tolérance. Le couple anglais avait l'habitude de vivre nu. Ils avaient été découverts plusieurs fois en train de jardiner dans le plus simple appareil, mais comme ils étaient chez eux, il était difficile de les en empêcher. Quelques paysans voyeurs les avaient toutefois incités à se replier derrière leur maison et à entourer leur piscine d'une palissade opaque. Mais leur réputation était restée. Au début, Mireille avait également été surprise. Mais comme en sa présence, John faisait l'effort de mettre un slip ou un caleçon, l'institutrice passait outre. En revanche, Janet persistait à évoluer à poil la majeure partie du temps et Mireille avait fini par ne plus y faire attention. Comme eux, mais de manière différente, elle avait le culte du corps. Janet, malgré ses cinquante ans, présentait un corps sculptural de femme mûre aux seins larges et bien accrochés et aux fesses encore pleines ainsi qu'une peau constellée de taches de rousseur et une chevelure rousse coupée court. John avait ...
    ... conservé son physique du coureur de fond qu'il avait été dans sa jeunesse : longiligne, sec, tonique, sans un poil de graisse, avec une crinière blanche toujours impeccable. Mireille avait constaté, non sans trouble, que ses parties génitales étaient étonnamment développées et pesaient dans son caleçon. Plus compliqué à oublier était le comportement sexuel du couple anglais. A l'évidence, ils n'aimaient guère les rapports conventionnels. Un jour qu'ils avaient invité Mireille à venir déjeuner avec eux, celle-ci avait trouvé John entièrement nu dans la cuisine, attablé devant les cuisses ouvertes de son épouse tout aussi nue, dont il dégustait la vulve toute langue dehors, en hors d'oeuvre, au milieu des assiettes et des verres, prudemment écartés. Mireille avait voulu aussitôt se retirer mais le couple s'était interrompu et se dirigeait vers la chambre pour poursuivre ses ébats : - Viens avec nous, avait ordonné Janet. Déstabilisée, Mireille n'avait osé refuser l'invite de son amie qui lui avait lancé : - Tu vas nous regarder, ça te décoincera un peu. Le couple s'était placé sur le lit, face à la glace de la penderie, en position levrette. Janet, ses seins lourds balançant entre ses bras, fixait du regard dans la glace à la fois le visage de son mari et celui de Mireille en arrière-plan. Toujours en levrette, ils s'étaient mis de profil, Janet désirant sans doute observer le travail de la bite, à en juger par son regard concentré sur la penderie. Mireille éprouva alors le besoin ...
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