1. Nadine, la vengeance d'une maman (13)


    Datte: 04/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Le week-end suivant, profitant des conditions climatiques exceptionnelles pour la saison, je convaincs ma mère de nous rendre sur la plage la plus proche. Notre huis-clos devenant parfois étouffant, il est temps de casser la routine sexuelle dans laquelle nous sommes installés. Rien de tel qu’un peu d’imprévu pour nous fouetter les idées. La veille, nous avons fait nos courses dans un hyper, et j’en ai profité pour acheter à Maman un maillot de bain – son premier depuis une éternité ! Avec sa regrettable pudeur maladive qu’elle endosse comme une seconde peau dès que nous quittons notre bulle, elle a spontanément arrêté son choix sur le modèle le plus convenable et le moins provoquant. Mais à force d’insister, je l’ai aiguillée vers un article bien plus intéressant dans lequel je l’imagine en salivant d’avance. Arrivés à destination, nous nous installons dans un endroit encore épargné par la foule. Le soleil et la chaleur ont attiré sur la plage beaucoup de touristes ainsi que de nombreux autochtones. Maman retire sa robe en jetant des regards inquiets tous azimuts, rougit plus que de raison, comme si c’était pour elle un véritable calvaire d’exhiber son corps en public. Elle se trémousse mal à l’aise, observe les gens à la dérobée, s’imagine que tout le monde la regarde. Je la rassure du mieux que je peux, mais je m’aperçois rapidement qu’elle a pourtant raison : elle attire vraiment l’attention. Sa peau d’albâtre, ses formes généreuses font des ravages sur notre entourage. ...
    ... Je suis émerveillé par l’effet qu’elle provoque sur les mâles, ainsi que sur les femelles aussi présentes. Ils la dévorent des yeux avec envie ou jalousie, et le résultat est immédiat : je commence à bander. Je m’allonge en vitesse sur le ventre, afin de dissimuler mon érection. Je suis dans le même état qu’un prédateur qui a gagné les faveurs de la femelle de son choix après avoir éliminé tous ses rivaux. Si j’écoutais mon instinct, là, tout de suite, je me comporterais comme un animal ; je pisserais autour de Maman afin de marquer mon territoire ; je délimiterais les contours d’une frontière naturelle. Je ne suis pas une bête, pourtant je suis en mal de reconnaissance. J’aimerais que les gens présents sachent qu’elle n’appartient qu’à moi maintenant. Mais comme je n’en ai pas le droit, je ne savoure pas comme il se doit ma victoire. C’est pourquoi mon triomphe est amer… Le malaise qu’éprouve Maman, à moitié nue, est palpable ; pour mettre fin à son supplice, je lui propose d’aller prendre un bain. Je la relève et nous nous dirigeons vers les flots. Nous avançons dans l’eau, en nous tenant par la main. Elle est sublime dans son maillot : son cul admirablement moulé pourrait déclencher une émeute à lui tout seul. Les gens se posent surement des questions. Je suis persuadé qu’ils se demandent si nous couchons ensemble, malgré la différence d’âge qui n’échappe à personne. Sans parler du fait que nous nous ressemblons d’une façon si troublante que ça doit jaser ! Nous sommes au ...
«123»