1. Nadine, la vengeance d'une maman (13)


    Datte: 04/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... centre des conversations, des spéculations ; tous les regards sont braqués sur nous. Je jubile intérieurement, contrairement à Maman qui donne l’impression d’avoir envie de disparaître afin de ne plus attirer l’attention… Nous nous éloignons du rivage et je réalise vite, mais pourtant un peu tard, que Maman ne sait pas vraiment nager : elle panique dès qu’elle n’a plus pied. Elle se maintient à la surface en se débattant de façon désordonnée, m’appelle à la rescousse en buvant la tasse. Je fonce dans sa direction et l’attrape fermement en la tenant sous les seins, mon bras replié autour de son buste. Je lui maintiens la tête hors de l’eau et l’implore de se calmer, de ne plus se débattre ; c’est la peur qui fait se noyer les gens, bien plus qu’on ne le pense. Elle ne lutte plus, son corps se ramollit ; elle me fait confiance. Nous dérivons lentement. Nous échouons dans une petite crique surplombée par une grande maison toute blanche aux larges baies vitrées, à l’écart de la plage. Il doit s’agir d’un endroit privé, mais l’important est que nous sommes derrière les rochers, seuls tous les deux, et surtout à l’abri des regards indiscrets. Maman est hors d’haleine, cette expérience l’a traumatisée. Elle a eu tellement peur, la pauvre : ce n’est pas tous les jours qu’on est sauvée par son fils de la noyade. Ce n’est pas rien ! Elle me presse contre son corps, écrase ses gros nichons mouillés sur mon torse frêle avec un abandon si total que j’en frissonne d’une volupté ...
    ... inattendue. Mon Dieu, Seigneur Jésus et tous les saints du paradis, comment se fait-il que je la trouve aussi bandante, alors qu’elle est ma mère ? Elle est reconnaissante, abandonnée dans mes bras. Alanguie. Elle est toute molle Ma queue durcit dans mon maillot de bain. J’ai honte de vouloir la baiser à un moment pareil, d’utiliser son désarroi à des fins personnelles, mais j’ai aussi envie de profiter de la situation. Je la relève en la maintenant contre moi, aspire ses lèvres, enfonce ma langue dans sa bouche. Elle me regarde les yeux ronds. — Mais enfin, Maxime, es-tu devenu fou ? Nous ne sommes pas à la maison, voyons ! Quelqu’un pourrait nous voir… qu’est-ce qui te prend ? Je ne réfléchis pas. Je suis dans un état second. J’écarte son slip sur le côté. Comme elle est plus petite que moi, je suis obligé de fléchir les genoux pour l’enfiler d’un seul coup, et elle est obligée de soulever les talons pour bien se faire emmancher à fond. C’est la première fois que nous baisons dans un endroit public, et le danger de nous faire surprendre est le plus stimulant des aphrodisiaques. Jamais je n’ai autant voulu la démonter qu’à ce moment, la faire crier, la faire mienne, alors qu’elle me regarde avec des yeux affolés qui m’implorent. Pourtant, malgré ses dénégations, elle se hausse sur la pointe des pieds pour me permettre d’investir sa chatte jusqu’aux couilles. Et elle pousse sa plainte rauque à chaque fois que ma queue lui décolle les pieds du sol. Je pilonne avec une rage dont je ne me ...