1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (27) Enceinte et toujours hypersexuelle.


    Datte: 04/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Une femme enceinte n’est pas obligée de mettre entre parenthèses sa vie sexuelle, y compris quand celle-ci est particulièrement débridée, ce qui est mon cas. Je ne pense pas qu’un tel récit et la suite que je compte publier soient contraires à la charte de ce site Hds. Ces récits vont peut-être choquer, mais ils sont un plaidoyer pour la liberté totale de la femme et de sa vie sexuelle, y compris quand elle attend un heureux événement. Future mère, elle n’en reste pas moins femme. Elle l’est même plus que jamais, puisqu’elle a assumé pleinement sa « fonction reproductrice » Elle n’en reste pas moins une amante, qui a le droit de revendiquer son droit au plaisir. Ce que je veux raconter est un moment important de ma vie de femme libre, de mon hypersexualité et dans le candaulisme de mon mari Philippe, ce qui fait l’originalité de notre couple. Le corps se transforme, les besoins demeurent. Bien entendu, au fur et à mesure de l’avancée de la grossesse, cela impose des précautions et des contraintes, mais qui ne doivent pas empêcher une femme de continuer à vivre le plus normalement possible. Le corps se transforme peu à peu. Moi qui ai toujours eu de petits seins, particulièrement sensibles et érogènes, je voyais ceux-ci gonfler au fil des mois. De même, mon ventre s’arrondissait et j’ai peu à peu assumé cela, ne cherchant absolument pas à cacher mon état. Je n’avais pas honte de cette transformation provisoire, au contraire, j’étais toujours aussi belle, j’étais fière de mon ...
    ... corps et je voyais dans le regard des hommes que je suscitais toujours le même désir, celui de me baiser comme la salope que j’étais devenue et qui s’assumait pleinement. Il se trouve donc que la grossesse n’avait pas calmé mes envies, bien au contraire ! J’ai raconté (récit n°22) comment la combinaison « explosive » de mon hypersexualité et du candaulisme de mon mari Philippe avait conduit à cette situation extrême où, en accord avec Philippe, mon mari candauliste et mon amant Rachid, mon « mâle » de l’époque, m’avait fécondé en la présence de mon mari. C’est ainsi que fût conçue il y a neuf ans notre fille aînée, Lucie, dont je considère que le véritable père est Philippe, à défaut qu’il en soit le père biologique. Philippe, mon mari candauliste, me rendait heureuse et encore plus depuis que j’étais enceinte de Rachid. Cet enfant, nous l’avons voulu lui et moi et il a été le témoin actif de sa conception. Contrairement à Rachid, qui m’a « fécondé », Philippe a, dès le début décidé d’assumer cette paternité. Ma fille sera la sienne, c’est Philippe qui sera le père. Philippe se montrait plus amoureux, plus tendre que jamais. Il me couvait d'attentions prévenantes et m'offrait des petits cadeaux touchants. Le partage des rôles entre le mari candauliste et l’amant, Rachid, se poursuivait. D'un point de vue sexuel, Rachid redoublait de fougue et d'imagination pour me satisfaire totalement. Au bout du troisième mois de grossesse, et par souci des précautions les plus élémentaires, ...
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