1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (27) Enceinte et toujours hypersexuelle.


    Datte: 04/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... effet et a contribué à ma trop lente prise de conscience sur la réelle personnalité de Rachid. Et cela m’a poussé, terriblement frustrée, en manque, comme je le raconterai dans un second récit, à rechercher ailleurs ce que Rachid ne m’apportait plus et dont mon corps ne pouvait et ne peut se passer. Nous avions pendant les premiers mois de ma grossesse notre rituel quotidien, toujours en présence de Philippe, qui ne se lassait pas de me voir jouir sous les assauts de Rachid. Rachid m’embrassait goulûment, passait ses mains sous ma robe de grossesse. Ma culotte de grossesse était remontée jusqu’au milieu du ventre, je portais aussi un soutien-gorge bien serré. Il sentait mon gros ventre chaud sous ses mains, le caressait pour en connaître le volume et l’ampleur. De mon côté je commençais à déboutonner son pantalon comme pour montrer combien j’étais une salope. Je sortais son sexe de son slip, je m’accroupissais et commençais à lui faire une fellation royale. De ses mains posées doucement sur ma tête, il me guidait pour que je lui donne plus de plaisir. Quand ma position devenait inconfortable à cause de mon ventre, je me relevais. Il en profitait pour m’ôter et jeter ma robe par terre. Philippe, qui ne se contentait pas du rôle de spectateur, grisé par la situation, enlevait mon soutien-gorge. Il m’offrait une fois de plus à celui qui était devenu mon mâle et qui avait été mon fécondateur. • Je veux te prendre, Olga. J’ai toujours aussi envie de toi et ton mari aime ...
    ... toujours autant que je te saute. Philippe baissait ma culotte, je m’allongeais sur le dos, sur le lit. Philippe et Rachid, à tour de rôle, me mangeaient le minou, un doux minou épilé de frais, je jouissais, criant un peu par rafales, comme une femme qui se libère après avoir dû taire trop longtemps sa jouissance. Avant de me pénétrer, Rachid labourait mon clito avec son doigt ou le plat de la main pour me chauffer encore plus. Je me cabrais de plaisir. Le sexe de Rachid était tendu à l’extrême, c’était le moment de me pénétrer, Rachid le savait, connaissant parfaitement mon corps dont il jouait comme un virtuose. Rachid plaçait mes jambes sur ses épaules puis écartait mes cuisses. Sa bite commençait à glisser en moi, puis, d’un coup violent il rentrait tout son sexe en moi, allant presque en butée. Je me cambrais de plaisir, lâchant des râles et des roucoulades. Mon vagin, par contractions successives, se rétractait sur son membre. Il me bourrait sans aucun égard pour mon état, me traitant de salope, je répondais par des râles successifs tant mon excitation était à son comble. De ses mains il pétrissait mes seins devenus lourds. Alors que Rachid me remplissait avec ardeur, Philippe, avec tendresse, me disait des mots d’amour, me caressait doucement le visage, me regardant droit dans les yeux, me caressant le ventre, les seins, alors que l’autre, le mâle, me besognait sans ménagement. J’étais comblée de tendresse et de douceur, mais Rachid voulait seulement continuer à prendre son ...
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