Mon mari m'offre à d'autres mâles. (9)
Datte: 30/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Le mec arriva dare-dard ! Il n’en pouvait visiblement plus d’attendre son tour. Je l’entendis chuchoter dans le salon pendant qu’il se déshabillait. Comme Franck me l’avait demandé, je m’étais placée, les mains au mur, la croupe en arrière, offerte et frémissante de désir, sur le côté du lit. Franck s’était retourné dans l’autre sens comme s’il dormait profondément. - Viens, c’est par là, entendis-je murmurer. Les deux types apparurent dans mon champ de vision, la lueur du couloir les éclairant. Je ne vis passer que l’ombre furtive du deuxième, plutôt petit me sembla-t-il qui se plaqua immédiatement contre mon dos. - Il dort son mec ? Demanda-t-il à l’autre avec une petite voix nasillarde désagréable qui me faisait penser à je ne savais plus qui ! - T’inquiète, comme un bébé. Le mec avait calé son sexe directement entre mes globes fessiers. Je sentis une petite bite, du moins selon mes critères habituels, apparemment très courbée, avec un gland bien dessiné selon toute vraisemblance. Un peu déçue par la taille, surtout après le morceau que je venais de prendre, je me consolais en me faisant cette réflexion qu’il avait l’air d’être aussi dur que du granit. Il me prit rapidement les seins. - Putain c’est quoi ça, t’es toute collante ! - Moins fort gros, tu vas réveiller mon homme, et ça demande à ton pote, il m’a giclé sur les nénés. - C’est vrai tu lui as giclé sur les seins ? - Ben ouais...trop bon quoi ! - C’est malin, j’en ai plein sur les mains. - Ça tache pas ! Et ...
... puis, ne te pleins pas... tu voulais baiser, tu baises... - Ouais...ouais....t’as raison...m’en fous... t’as de trop bons lolos... putain, c’est plein, c’est ferme, c’est lourd, pas comme ma platoche de femme... - - -T’aime que je te pétrisse les seins comme ça hein salope ? - Occupe-toi aussi de mon cul ! Répondis-je assez sèchement. - J’vais te le bouffer. Et il se baissa pour le faire. - Attention ça va mouiller mon gars, dit son copain, parce que je l’ai bien graissée la garce et son mari lui avait fertilisé la chatte avant. Mais, tout à son excitation, le mec ne répondit pas. Il me prit par les hanches pour me tirer un peu plus vers l’arrière et, des mains, m’invita à écarter davantage mes cuisses et il se mit à me manger la chatte et le trou du cul comme s’il avait été plusieurs années sans le faire, en véritable affamé de sexe. Il y allait avec une réelle fougue. Sa langue était épaisse, grosse, nerveuse, et sa barbe du soir avait un poil dur qui me frottait agréablement les chairs leur procurant une bienfaisante chaleur. - Elle a l’abricot qui gonfle dit-il en s’interrompant un moment. - Tu vois, j’tavais dit que c’était sûrement un bon coup cette nana lui répondit l’autre. Il travaillait tant et si bien qu’il finit par me faire jouir du clito, une jouissance bruyante qui m’amena à me redresser pour me caresser moi même les nichons, ce que voyant, son pote qui ne rebandait pas décida d’y remettre les mains en me pinçant les tétons. - Allez vas-y, enfile-là ! Le gars me ...