1. Mon mari m'offre à d'autres mâles. (9)


    Datte: 30/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... genoux et pris la queue toute flasque dans ma bouche. Elle reprit rapidement de la vigueur. - Et toi le grand con ? Ça te fait pas bander ? - Euh, si, si mais, j’ai déjà....euh... alors, j’ai pas encore... - Ben oui, j’suis con ! La jute sur les nibards, c’est toi ? - Oui... - Bon ben tu vas te rendre utile quand même... Et mon mari s’absenta un instant pendant lequel les gars restèrent silencieux. - Tiens, filme ! Dit Franck en revenant avec la caméra. - Les images, ça m’embête un peu, dit le patron. - J’crois que tu n’es pas en position de discuter quoi que ce soit. Tu fais ce qu’on te dit, c’est tout ! Il bande dur là ? - Oui mon chéri, répondis-je. Un joli kiki tout dur. - Allez ! Reprends-la par derrière, comme tu faisais avant. Le patron fit ce qu’on lui demandait et le fit plutôt bien. - Monte-la en levrette sur le plumard. Dont acte. - Bon ma chérie, empale-toi le cul sur ce connard que je lui montre ce que c’est qu’une vraie bite et comment on baise, dit Franck en exhibant fièrement son braquemart tendu à mort. Le patron s’allongea sur le lit sans se faire répéter l’esprit de la manœuvre qu’il avait bien intégré et je m’assis aussitôt sur sa bite; je n’eus même pas besoin de lubrifier tant j’avais déjà mouillé du cul. La bite entra presque d’une traite sans que j’aie la peine de beaucoup onduler du derrière pour la faire coulisser jusqu’en dedans de moi. - AAAAH ! fit le patron... et c’était un râle de satisfaction. - Alors pépère c’est bon ? - Oh oui ! Franck c’est ...
    ... bon. Putain, c’est merveilleux. Franck m’enfila lentement pour bien faire sentir la grosseur de sa queue à son boss. - Alors André, tu la sens ma grosse bite dans la chatte de ma femme ? tu la sens bien à travers la paroi ? - Oh oui ! - C’est qui le mieux monté des deux, c’est qui le patron ici ? - C’est vous, c’est vous... sans conteste. - Et quand je bouge comme ça, tu la sens ? - Ouiii... — T’aime ça ? - C’est une sensation extraordinaire... merci... C’est le pied. - J’suis sûr que t’avais jamais fait de double avant hein ? - Jamais. - A part ta femme et les putes, rien ? - Rien. - Alors profite mon gars, c’est open bar ! Et toi, ’oublie pas de filmer, le grand con ? - Non, non.... - Si tu te remets à bander, tu y as droit... - OK... merci. Le patron restait complètement stoïque. Il se contentait de laisser Franck me déboîter avec rage. Et il y avait longtemps que mon homme ne m’avait pas saboulée comme ça. Il est vrai que depuis qu’il me faisait sauter par d’autres gars, sa participation diminuait ou il se contentait de mater et parfois, il se satisfaisait juste de se pignoler en fin de séance pour que j’avale son sperme. Mais, visiblement, moins d’une heure après m’avoir tirée, il était de nouveau d’attaque et en grande forme. En fait, je crois que se montrer supérieur à son patron au pieu flattait sa virilité et décuplait sa libido. A force de me prendre d’autres belles queues, j’avais presque oublié qu’il était un sacré performeur. L’orgasme me fit perdre toute mesure ...
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