Nadège
Datte: 05/09/2018,
Catégories:
fh,
amour,
massage,
Oral
intermast,
pénétratio,
médical,
... rayonnante, s’était installée dans ma ville il y a quelques mois après avoir effectué des remplacements un peu partout, pour se former, voir du pays et profiter de la vie, m’avait-elle dit au cours d’une de nos séances de torture hebdomadaires. Ses yeux bleu clair me faisaient craquer, et je l’espérais célibataire, mais n’avais pu en obtenir de confirmation, à mon grand dam. J’avais bien tenté une approche maladroite à l’occasion de nos séances et glissé quelques sous-entendus sur le ton de l’humour, mais en vain. Une semaine plus tard, je me prépare pour mon désormais traditionnel rendez-vous. Je me dépêche de sortir du boulot et passe prendre une douche rapide à la maison. Le miroir de la salle de bain me renvoie l’image de ma sale tronche et je me dis que c’est vraiment pas gagné. Pas encore remis de mon accident, les douleurs et les cauchemars écourtent mes nuits et creusent des cernes sur un visage déjà naturellement banal. Je suis grand et assez carré d’épaules grâce à mon amour de la natation. Je pénètre sous la douche et fais mousser. Son visage, son corps visiblement sportif m’obsèdent, et le frottement de mes mains pleines de savon associé à mes pensées réveille ma masculinité. Je n’ai pas le temps de traîner et actionne l’eau froide pour me rincer, en profitant du jet d’eau glacée pour faire retomber la pression. Je suis à la bourre, d’autant que désormais, je marche plus lentement qu’avant. Sur le chemin, je me demande tout de même pourquoi elle a souhaité ...
... décaler l’heure de mon rendez-vous. Je suis désormais son dernier patient de la journée, juste avant le week-end. Et si… Un coup de klaxon me sort de mes rêveries et le chauffeur du bus m’engueule à travers la vitre : — Pourriez regarder avant de traverser ! Manquerait plus que je me fasse renverser. Sûrement de quoi prolonger les séances de rééducation, mais même si ça me permettrait de prolonger nos entrevues, je préfère rester intact, enfin, presque. Je sonne à la porte du cabinet qui s’ouvre directement. La silhouette de Nadège se détache, éclairée par les néons de la salle d’attente. — Entre, tu es retard ; ça va ?— Pas pire que d’habitude, mais la douleur remonte sur la hanche et je marche moins vite qu’avant.— On va regarder ça, tu peux aller directement dans la salle du fond, elle est libre, j’arrive. Je me déshabille et m’installe sur la table de massage. Elle s’occupe de moi et commence par vérifier l’épaule, qui ne me pose plus trop de problèmes. Elle passe ensuite à ce maudit genou droit, et poursuit les étirements et mobilisations. Comme d’habitude, nous bavardons de tout et de rien, d’actualité, de météo ou de nos occupations pour le week-end qui vient. — Et ma hanche, tu peux jeter un œil ?— Pas de problème, j’y viens. Je sens ses mains remonter le long de ma cuisse et finir sur mon boxer. Les gestes sont médicaux, précis, et je l’espère efficace. — Tu peux soulever ta hanche, s’il te plaît ? J’acquiesce et sens immédiatement sa main droite passer sous ma fesse, ...