1. An Daofin Meur (3)


    Datte: 05/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... avec Enora, c’est un accident ; une mère ne devrait jamais avoir se genre de gestes envers sa fille. Si tu savais comme j’en ai honte. — Tu n’as pas à avoir honte. Vous en aviez envie toutes les deux et, finalement vous n’avez rien vraiment fait. — Tout désir incestueux est honteux, et Enora n’en mène pas plus large que moi. Tu me posais une question à propos de mes relations avec Soizic et Anick et bien je pourrais botter en touche et te renvoyer la balle à propos de Ludo, Alan et Maël. — Qu’est-ce que tu veux dire ? — Loïc, on n’en a jamais parlé parce que j’ai toujours considéré ça comme secondaire et stérile, mais quand on est sorti ensemble, tes ex petites copines sont presque toutes venues me voir pour m’expliquer que t’étais pédé et que tu te faisais enfiler par tes copains. Il n’y en a eu qu’une seule pour démentir les autres sur ton orientation sexuelle. — Louise, j’imagine… — Exactement. Elle m’a expliqué que tu aimais les deux et que ça avait été trop pour elle, mais elle m’a souhaité d’être heureuse avec toi et, tu sais quoi ? Son souhait se réalise encore aujourd’hui. — Moi aussi, Chérie, je suis heureux avec toi. Le plus heureux des hommes, même, et depuis 25 ans. — Loïc, tu ne t’es pas trompé ; j’aime aussi les femmes, et Soizic et Annick vont probablement me manquer souvent, mais j’ai quelque chose d’autre à te dire… Je t’ai fait cocu. — Je m’en suis douté plusieurs fois, en te léchant. Et depuis longtemps… Maryvonne rougit de honte en entendant ça ; elle ...
    ... avait toujours cru que son mari ne se doutait de rien et le « depuis longtemps » prouvait que pas grand-chose ne lui avait échappé. — Je te demande pardon, Loïc, je… — Chut ! Je ne veux rien savoir ; je ne veux même pas savoir avec qui ni avec combien d’hommes. Je ne suis pas en train de te faire un reproche. On est ensemble sur An Daofin Meur, sous une nuit étoilée, avec juste le bruit de l’étrave fendant la houle et je ne veux pas gâcher ce moment. Je t’aime, Mary ! Je t’aime comme au premier jour. — Tu ne m’en veux pas ? Pour rien ? Même pas pour ce qui s’est passé avec Enora ? — Oh que non, je ne t’en veux pas et vous auriez été plus loin que je ne vous en voudrais pas plus, au contraire. Je l’ai espéré quand vous avez commencé, mais ça n’est pas arrivé… — Tu es un gros cochon pervers… Tu aurais voulu que je fasse véritablement l’amour avec notre fille ? — Oh oui, regarde dans quel état ça me met, rien que d’y penser… Répondit Loïc en retirant son short. — Cochon ! Tu veux que je te suce, peut-être ? — Oh non, sinon, on ne pourra plus se parler. Je préfèrerais que tu te colles un peu plus à moi… Maryvonne retira sa culote, monta sur la banquette et enfourcha Loïc. — Mmm… Oui… T’es vraiment bien raide, mon salop… Constata Maryvonne en s’empalant sur sa bite. Ça t’excite vraiment, alors. — Oh oui… Coquine, ça m’excite ; j’ai envie de te voir faire l’amour avec Enora… Oh oui, alors… — Espèce de pervers… C’est une bien vilaine chose, pour une mère, que de faire l’amour avec un de ...