1. LE MARIN. La parisienne en vacances. (13)


    Datte: 05/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... me suis réveillé dans l’impossibilité de respirer. Cette nuit, Dider ton copain a été le premier à repénétrer ma chatte, car quand je l’ai vue, j’ai revu le visage d’ange qu’avait mon mari le jour où à douze ans, il m’a pris la main pour m’éviter de tomber de la falaise lors d’une sortie scolaire à la pointe du raz. Pendant des mois et des années, je le voyais errer comme une ame en peine autour de chez moi, mais tu sais avant la guerre pour nous les jeunes, la vie était différente, car nos parents nous tenaient fermement. Un jour alors que nous avions 19 ans, il a eu le courage de venir affronter mon père gros patron de pêche aussi bien avec son bateau et physiquement, car il pesait plus de 130 kilos. Je l’ai entendu lever le ton et j’étais persuadé blotti dans les bras de maman qu’il allait se faire massacrer. J’ai même entendu mon père lui dire avec sa grosse voix qu’il avait du mal de voir sa seule fille dans les bras de cette demi-portion et qu’il lui donnerait des rejetons incapables de tirer sur un filet en mer. La réponse cinglante de mon mari a subjugué mon père, car personne avant ce jour avait osé lui tenir tête. Il m’a appelé et il m’a dit qu’il acceptait que j’épouse l’avorton comme il l’appelait amicalement dans les temps qui a suivi. Il lui a même donné le commandement de son bateau pour partir se reposer avec maman après des dizaines d’années de mer. Tu connais la suite, à leur disparition de nos maris avec Gaëlle, nous avons décidé de nous associer et le ...
    ... temps faisant son œuvre, nous sommes devenus Amante et nous avons ouvert ce restaurant ayant toujours aimé cuisiner. • Bonjour à tous, qui va pouvoir nous ramener à Carnac ? • Moi Gislène regarde Véronique est parti chez Roger et m’a laissé les clefs de la Mercédès. • Bonjour à tous, quelle cuite, je me souviendrai du chouchen et du muscadet. Louise, un café avec trois aspirines s’il s’est possible, j’ai la tête comme un ballon de rugby. J’espère que ma petite femme a su être plus agréable que moi et qu’elle a su se tenir jusqu’à la fin du repas. En disant cela, il vient à sa hauteur et la prend par la taille. Je vais pour lui répondre, mais le regard désespéré de ma maîtresse me fait taire. • Louise merci pour ta mise au point sur ta vie mais nos amis ont besoin d’un coup de fouet avant que je les raccompagne, allé vite à table. Nous forçons sur le café, mais au moment de partir, je constate que Benoît a encore un retard de sommeil. Nous embrassons nos amies déjà descendues et j’avance la voiture. • Benoît monte derrière, tu pourras t’allonger et dormir un peu. Il m’écoute, se retourne le visage le long du cuir du siège et nous tourne le dos. Je place le rétroviseur pour surveiller le cocu dormeur. J’ai à peine fait passer le coin de la rue à la voiture et déjà j’ai la main dans la culotte de la jeune mariée. • Enlève ta culotte, j’aurai plus facile à faire entrer mes doigts. J’ai un moment de frayeur, car je vois Benoît bouger, j’ai dû parler plus fort. Alerte plus loin il ...