1. LE MARIN. La parisienne en vacances. (13)


    Datte: 05/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... retombe dans la même position. Gislène s’exécute et la balance, le vent malgré la vitesse l’a fait tournoyer et retomber sur l’arrière du crâne de son mari. Elle se retourne s’agenouille pour la récupérer et de nouveau la balancer. • Non, tu me la donne, je te mettrais dans ma collection en souvenir des bonnes baises que nous avons fait ensemble. Elle me la donne, mais je profite de sa position prenant des risques en conduisant d’une seule main et plaçant l’autre à lui caresser l’anis et la chatte. Sur le chemin restant, je sens son corps se cabrer une ou deux fois. • C’est bon, mais je veux ta queue une dernière fois en moi. Elle me dit cela au moment où j’arrive devant leur hôtel. • Viens, montons à la chambre laissons-le dormir, tu vas m’en mettre un coup avant de repartir, je vais partir dans son trou après la fin de notre voyage de noces et cela me fera des souvenirs. Nous sommes en chemin et arrivons devant la porte. • Et s’il se réveille et qu’il monte au moment où je te pilonnerai ? • Aucun problème, en me mariant j’avais pris de bonnes résolutions de devenir une femme fidèle et aimante. Ton copain et toi, vous avez réveillé en moi mes envies de baise et nul doute qu’il prendra conscience que c’est un mec programmé pour finir cocu. Boire comme un trou comme il la fait hier sans voir que tu le soûlais pour me baiser en toute impunité mérite ce qu’il lui arrive et que je vais répéter chaque fois qu’une bite intéressante passera à ma portée, avant de me marier, j’étais ...
    ... une salope après, je serais une double salope. Entre. C’est comme cela que je l’ai sexée par la vulve très chaude, qu’elle me suce en gorge profonde et que pour finir notre séance de sexe, je l’encule déchargent à foison de grands jets de sperme. Un dernier baisé aussi profond qu’au moment où je lui mettais mon sexe et je la quitte pantelante après lui avoir fait atteindre deux fois l’orgasme. C’est en arrivant au bas de l’escalier que Benoît arrive. • J’allais te réveiller, Gislène fait vos valises, je viens d’allée aux toilettes du café. Salut, mon pote, je te souhaite bonne chance, tu as épousé la meilleure des femmes, garde là précieusement. • Je sais qu’elle est ma chance, si tu passes dans mon bled, arrête-toi à mon garage, je te montrerais les moteurs des voitures américaines, ce sont de vrais merveilles. Attends avant de partir, peux-tu me faire voir le moteur de la Mercédès, une voiture aussi puissance se doit être une merveille. Nous repartons vers la voiture, je mets du temps à trouver comment ouvrir le capot et c’est un véritable enfant qui admire le moteur allant même jusqu’à le caresser aussi bien que je viens de le faire sur le corps de son épouse. • Tu comprends toi qui es du métier, je vais te faire un aveu en voyant un beau moteur je bande autant qu’en regardant le sexe de ma femme. As-tu déjà fantasmé en faisant l’amour à une nana ? • Oui, sur une petite culotte, une chatte épilée ou un joli cul. • Moi quand je suis avec Gislène, certains jours ou je suis en ...