1. Section TG (14)


    Datte: 05/09/2018, Catégories: Transexuels

    ... nuits avec elle, j’avais ma brosse à dent à côté de la sienne. Et je prévoyais désormais un string de rechange. Nous fîmes nos ablutions nues devant le lavabo. Ma main s’égara sur ses fesses douces et mon doigt s’insinua dans le sillon. — Si tu es gênée devant, on peut essayer par derrière, dis-je taquine. — Non, une autre fois peut-être. — Tu n’as jamais essayé ? — Non, jamais. — Ok. Si un jour, tu veux franchir le pas, tu me dis. — Je suppose que tu le fais souvent, demanda-t-elle, curieuse. — Souvent, je ne sais pas, mais ça m’arrive, à l’occasion. — Ça fait mal ? — La première fois, un peu. Ensuite, avec un minimum de préparation, y a pas de souci. — Je vois. On se coucha, l’une contre l’autre, ne gardant que nos sous-vêtements. .oOo. — Tu as passé une bonne soirée ? demanda François Marquant à sa femme en se glissant sous la couette. — Oui. Pour une fois ... — Tu as vu Isabelle ? Elle était très sexy ce soir. Tu crois qu’elle a quelqu’un dans sa vie ? — Oui, je l’ai vu, répondit Nathalie un brin troublée. Quant à savoir si elle a quelqu’un, je n’en sais rien. Ce n’est pas moi qui passe mes journées avec elle. — N’empêche que tu n’as pas arrêtée de la suivre du regard de toute la soirée. Tu as envie d’elle ? — Pourquoi ? Pas toi ? Ne me dis pas que tu n’as pas pensé à la culbuter dans un coin ? — Ne soit pas vulgaire, s’il te plait. Et puis ne répond pas à une question par une autre question. Nathalie éclata de rire. — C’est l’hôpital qui se fout de la charité ! C’est ...
    ... le genre d’exercice dans lequel tu excelles, non ? Bon, alors pour répondre à ta question : oui, j’ai très envie d’elle. — Et oui moi aussi, j’ai pensé à me la faire. D’ailleurs, si elle se pointe en jupe, pas sûr que je résiste. Nathalie se retourna et lui lança un regard noir. — Isabelle est à moi. Alors pas touche ! C’est compris ? — Non, mais tu es sérieuse là ? — Oui, très sérieuse. Ne va pas me casser mon coup. — Je sais que tu aimes bien te taper des nanas de temps en temps. Mais c’est pas la peine d’en faire toute une histoire. — Si, j’en fais toute une histoire. Tu ne touches pas à Isabelle ! François regarda sa femme plus attentivement. — Je ne le crois pas ! Tu es amoureuse ? Tu as viré ta cuti ? Nathalie se rallongea, silencieuse, les yeux fixés au plafond. — Non sans rire. Tu es vraiment amoureuse ? Et moi alors ? — Oh arrête ! Tu sais très bien qu’entre nous, c’est fini depuis longtemps. Tu as tes maitresses, j’ai les miennes et mes amants. On fait juste semblant pour la galerie. Comme ce soir. Alors ne me fait pas une crise de jalousie mal placée. — Ok, ok, ok. François se calma. — On fait l’amour ? demanda-t-il — Si tu veux, répondit Nathalie sans entrain François repoussa la couette. Il s’allongea sur sa femme pour l’embrasser. Elle se laissa faire, passive, ses pensées tournées vers Isabelle. Il remonta sa chemise de nuit, retira sa culotte et lécha son sexe surmonté d’un triangle de poils courts. Elle mouillait, mais pas à cause de la langue de son mari. Il ...