L'étalon aiguille (Tome 3) (11)
Datte: 30/07/2017,
Catégories:
Transexuels
... n’était pas encore fini ! — Non, pas tout à fait. En quittant l’appart’, j’ai réalisé tout ce que j’avais vécu ces derniers jours. J’avais les nerfs à fleur de peau et j’ai aussi réalisé que j’avais envie de Vanessa, je dirais même qu’en fait, je sentais confusément un besoin, oui c’est ça, un besoin, de vivre une nouvelle expérience pour faire retomber toute cette tension que j’avais emmagasinée. Lydie, tout en posant sa main sur le genou de Phil, répondit sans la moindre surprise à l’interrogation muette que je venais de soulever en me décidant à franchir le pas et à me tourner vers elle : — Je me disais bien, aussi… Mais non, Samantha, ça ne dérange personne. On peut attendre cinq minutes pour écouter la fin de mon histoire. Suce-la, puisque tu en as envie ! On va vous regarder tranquillement, Philippe et moi… N’est-ce pas, Philippe? Il ne répondit pas mais acquiesça d’un mouvement de tête tandis que je m’agenouillai aux pieds de Tiffanny qui s’était relevée. — Oh Tiff’, tu te rends compte, c’est une vraie, cette fois, c’est pas un gode, je vais te sucer… — Oh oui ! Je la pris en bouche et fis montre de toutes mes connaissances afin de maintenir son excitation au plus haut. Parfois je bougeais la tête d’avant en ...
... arrière en enroulant ma langue autour du pieu de chair dont Lydie l’avait dotée, parfois, je ne gardais que son gland dans ma bouche et la masturbais de ma main quand mes doigts ne jouaient pas autour de son anus. Je ne manquais pas bien entendu de prendre autant si ce n’est encore plus de plaisir à la caresser à travers le cuir du manteau. J’entendais dans mon dos les voix de Phil et de Lydie qui m’encourageaient. Cinq minutes plus tard, Tiffanny crispa soudain plus fort ses doigts dans mes cheveux en gémissant; je sentis alors sa hampe se gonfler encore plus et son sperme vint s’écraser au fond de ma gorge. Philippe et Lydie ne nous avaient pas quitté des yeux un seul instant. Avant que je n’aie eu le temps de finir de me redresser, Tiff’ se baissa vers moi et plongea avec avidité sa langue dans ma bouche pour, dit-elle, "pouvoir y goûter elle aussi". Puis, épuisée par cette tension inconnue d’elle, elle se recula et se laissa tomber dans le canapé. Lydie s’était assise sur les genoux de Philippe, les jambes écartées et il lui caressait doucement les seins. Il ne la pénétrait pas à proprement parler, mais je voyais sa verge tendue qui allait et venait au gré de ses mouvements sur l’entrejambe gainée de cuir de la jeune femme.