1. Lazarius et l'antiquaire (4)


    Datte: 30/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Un jour, plusieurs mois après, mon assistante m’appela pour me dire qu’une dame, une antiquaire m’avait appelé sur le numéro que je lui avais laissé. Je me rappelai évidemment de ma belle, pulpeuse et mûre antiquaire blonde, et avec émotion me remémorai la façon dont j’avais essayé sur elle la strappe en cuir que je venais de lui acheter. Je la rappelai donc le jour même, dans la soirée. « - Madame M. ? Bonsoir, je suis Mr Lazarius L. Vous avez essayé de me joindre aujourd’hui… — Oui, bonsoir Monsieur. En effet. Voilà, je voulais savoir si vous étiez toujours intéressé par des objets anciens… ? — Oui, bien-sûr. Enfin, il faut voir… — Oui, bien entendu. Je vous appelle parce qu’en Normandie j’ai pu en récupérer tout un lot dans une vente aux enchères. Cela va du petit meuble à divers objets rustiques. — Comme je vous ai dit, il faut voir. Pourquoi pas ? — Par contre, ils sont là-bas, j’ai conscience que ça fait loin. Cent-soixante kilomètres de Paris. Je vous propose de venir voir parce qu’il y a pas mal de choses… enfin, si vous avez l’occasion et la possibilité de venir un week-end. Personnellement, je n’y vais pas toutes les semaines, mais si vous le souhaitez, vous me dites quand et je m’adapterai. — OK. Patientez, je regarde mon agenda. Mais ça sera plutôt un samedi, les dimanches je suis très pris. — Bon… D’habitude j’ouvre ma boutique à Paris, le samedi. Mais je pourrai peut-être m’arranger, trouver quelqu’un pour la tenir… exceptionnellement. — Le 20 avril, ça serait ...
    ... possible. Pas avant. De toute façon, quitte à aller en Normandie un week-end, je préfère attendre le printemps pour profiter de la région. Je connais, mais il y a bien longtemps que je m’y suis rendu. — Oui ça irait. Je m’arrangerai. De toute façon, Mr Lazarius, je vous invite à déjeuner chez moi ; vus les kilomètres que vous allez faire, je peux quand même vous offrir le couvert ! — Oh mais avec plaisir ! Du coup, je me sens obligé d’accepter. — Entendu alors. Je vous enverrai l’adresse par s.m.s… au numéro de portable que vous m’avez donné. — Parfait, Madame M. Alors au 20. Sans faute ! — Entendu. Au 20. Bonne soirée. — Bonne fin de soirée, Madame M. » Je me demandai quelles vieilleries Madame M. avait bien pu dénicher à la campagne. Je ne m’attendais pas à trouver quoi que ce fut d’intéressant. Mais bon, j’avais accepté l’invitation d’autant que premièrement, c’était une petite femme appétissante, et deuxièmement, nous nous étions quittés la dernière fois sur ma proposition de la fesser quand elle en aurait envie. Il est vrai qu’elle ne m’avait pas appelé pour ça. Mais les femmes sont souvent très fines, et rarement directes. Et puis, elle aurait sans doute eu peur d’essuyer un refus si elle m’avait demandé de venir la fesser à cent-soixante kilomètres de Paris alors que je pouvais très bien le faire dans la capitale, au lieu de perdre quatre heures aller-et-retour sur la route. Elle m’envoya donc deux jours après un s.m.s. pour m‘indiquer l’adresse et un autre le 17 pour ...
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