1. Touria, la caissière perverse du Carouf (1)


    Datte: 20/06/2017, Catégories: Hétéro

    Voilà maintenant des semaines que je la mate du coin de l’œil, la caissière du Carouf. A chaque fois, je m’y arrête pour acheter une babiole et je me débrouille pour me mettre dans la file menant à sa caisse. Tout cela pour croiser son regard, et entendre sa voix. Elle s’appelle Touria, elle est une belle maman maghrébine un peu rondelette d’une trentaine d’années. Typique de ses origines orientales, elle a une belle peau ambrée, de grands cheveux noirs bouclés, des grands yeux tout aussi sombres cachés derrière des lunettes carrés. Un sourire radieux, plein de soleils et surtout des petites lèvres en formes de boutons. Elle me plait bien ma petite caissière arabe, quand elle attrape mes boites de conserves avec ses petits doigts potelés aux ongles rouges, j’aimerai bien qu’elle m’attrape autre chose. Cette pensée à chaque fois réveille une chaleur piquante dans le bas de mon ventre. De même, quand elle se déplace dans les rayons en faisant claquer le parquet avec les talons de ses escarpins, j’aime la suivre discrètement pour contempler le balancement de ses belles et larges hanches et de sa poitrine rebondie. Elle est peut-être un peu grosse, mais sa taille est bien marquée, sa silhouette voluptueuse et harmonieuse. Et il faut bien le reconnaître, moi j’ai toujours aimé les femmes rondes. Bon ben voilà, Touria c’est une mère de famille somme toute assez ordinaire, pas un top model des magazines ; c’est le petit fantasme assez ordinaire d’un bonhomme marié ordinaire en ...
    ... pleine quarantaine. Un jour, à la caisse, elle laisse échapper une petite boîte de pile, elle se penche pour les ramasser, et en relevant la tête, elle surprend mon regard qui évidemment était perdu dans son immense décolleté. Elle me fixe avec insistance en se redressant très lentement, moi évidemment je pique un phare, ce qui déclenche chez elle un rire tonitruant. Bon ben voilà, je suis démasqué maintenant. La coquine, elle sait qu’elle me plait et elle a décidée d’en jouer. L’autre jour dans un rayon, quand je passe à ses côtés, elle se baisse pour attraper quelque chose, elle cambrant bien ses fesses et me regarde fixement en me souriant. Et l’autre fois, juste après la caisse, je me retourne pour lui dire au revoir, la garce ! Elle fait un quart de tour sur sa chaise à roulette, se met bien en face de moi, écarte ses cuisses et soulève sa jupe avec son éternel sourire radieux. Mon regard s’engouffre dans son entrejambe et sur le tissu blanc de sa culotte. Je deviens rouge écarlate, je m’enfuis sans demander mon reste. Et depuis ce jour, à chaque fois que je passe devant elle, elle met un point d’honneur à se mettre en scène et à toujours appuyer son regard sur mes yeux. Et cela dure des semaines. Je finis par ne plus penser qu’à elle, cela en devient obsessionnel. La nuit, quand je baise ma femme, je m’imagine donnant de grands coups de reins entre les jambes de Touria. Le jour au boulot, devant mon ordinateur, je l’imagine la tête entre mes cuisses me lapant avidement. Un ...
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