Touria, la caissière perverse du Carouf (1)
Datte: 20/06/2017,
Catégories:
Hétéro
... fébrilement son chemisier puis détachent son soutien-gorge. J’extrais enfin ses deux énormes mamelles. La blancheur lumineuse de ses deux énormes boules contraste avec le teint pêche de son bustier. Je suis fasciné par ses seins je le regarde longtemps bouche bée. Puis je les caresse, je les soupèse, je les malaxe. Elle gémit de plaisir en penchant la tête en arrière, les auréoles noires autour de ses tétons deviennent énormes. Je les titilles, je les suce, je dépose avidement ma bave sur toutes les rondeurs de ses seins, je les déguste, elle continue à gémir elle me caresse les cheveux et passe sa main sur la bosse de mon pantalon… Je veux aller plus loin encore, mes mains glissent sous sa jupe à la recherche de sa culotte… Mais là, Elle ne se laisse plus faire ! « Non ! Non ! arrêtes ! NON ! Elle me repousse. NOOON ! Arrêtes ! Non pas comme ça pas tout de suite ! Elle me repousse de ses bras, j’insiste, je force, je veux lui arracher son slip à cette salope. Sa voix devient aigue, moi je grogne, elle se débat. Las ! Elle me distribue une MONUMENTALE GIFLE sur la joue ! « Sale cochon ! Je ne suis pas ta pute ! Je ne vais pas me faire baiser comme ça ! » Je suis arrêté net, je sens la douleur et la rougeur ! Je suis tout penaud de honte, je n’ose plus rien faire, je suis pétrifié. Elle me regarde avec un grand sourire. Alors, elle ...
... s’approche doucement de moi en fixant mon regard, un peu comme le serpent s’approchant d’une petite sourie apeurée. « Oooh, ne fais pas la tête mon petit chat. Tu me plais tu sais ! Je veux bien être ta chatte ! Je veux bien que tu me donnes du plaisir, et je veux bien t’en donner ! Mais c’est moi qui décide, où, et quand et comment… tu m’as compris mon petit chat ? Tu me plais tu sais, elle va t’en donner du plaisir l’arabe ! » Tout en me parlant, elle me bécote doucement, et de ses doigts agiles, elle ouvre mon pantalon et extrait mon sexe qui se dresse tout de suite à la verticale. Elle le caresse doucement et longuement. Elle accélère doucement en continuant à me fixer droit dans les yeux… « Oh Ouuuuiiii c’est bon ça te plait mon petit chat ! Elle sent que je ne vais pas tenir longtemps, elle ouvre sa bouche et aspire mon gland. Seulement trois aller-retour. Elle se retire bien vite et je lâche deux chaudes giclées qui souillent le fauteuil de la voiture et mon pantalon. qavqlli C’est tout ce que tu auras aujourd’hui mon petit chat, maintenant tu me ramènes et je ne veux plus rien d’autre » Je la ramène sur le parking du carrefour Market. Sans dire un mot de tout le trajet. A l’arrivée elle prend mon numéro de téléphone et refuse de donner le sien. Je lui demande de m’appeler la journée et pas en soirée pour pas tomber sur ma femme.