1. Ma belle amie


    Datte: 09/09/2018, Catégories: f, h, Masturbation intermast,

    Cette histoire a débuté en 1988. À l’époque, le journal Libération publiait chaque samedi une page d’annonces érotiques. Je les consultais sans y croire et sans avoir trop envie d’y répondre. Une semaine, pourtant, un texte attira mon attention. Une femme expliquait qu’elle n’atteignait le plaisir que par la masturbation mais qu’elle aimerait pratiquer ce jeu devant un homme partageant ses goûts. Je suis, je l’avoue, un masturbateur frénétique. J’ai, certes, fait l’amour "normalement" et eu des enfants, mais j’ai toujours préféré le plaisir dit solitaire - à condition de le pratiquer devant une femme qui se rend le même service. J’ai souvent eu cette chance, y compris avec la mère de mes enfants. Ce n’est pas tout : j’adore les dessous féminins et aime porter des lingeries à l’ancienne (je veux dire telles que les portaient les femmes dans ma lointaine jeunesse : gaine rose saumon, bas, culotte et combinaison du même rose) et je préfère me caresser dans la culotte de ma partenaire - une fois qu’elle a joui dedans. J’écrivis donc à cette dame, qui se nommait Madeleine, comme elle me le précisa dans sa réponse. Elle avait trois ans de plus que moi - ce qui fait que nous étions tous deux quinquagénaires. Nous échangeâmes plusieurs courriers assez "chauds" où nous racontions nos jeux solitaires. Elle m’envoya une de ses culottes que j’honorai de la plus belle façon. Puis nous finîmes par convenir d’une rencontre. J’étais à l’époque consultant, comme on ne devrait pas dire, pour ...
    ... diverses entreprises de VPC. L’une d’elles se trouvait à Paris, sur les grands boulevards. Madeleine devait venir m’y chercher à l’heure du déjeuner. Je m’étais libéré pour l’après-midi. Quant une secrétaire vint me prévenir qu’une dame me demandait, je la suivis et me trouvai en présence d’une personne qui ne faisait pas son âge, malgré ses cheveux gris. Elle portait une gabardine sur un tailleur démodé. Elle avait de jolis yeux et un sourire charmant. Nous fûmes tout de suite à l’aise. Au restaurant, elle me montra qu’elle savait boire comme il faut ! Je regardais ses mains, qu’elle avait longues et fines, et je les imaginais en plein travail. J’avais une érection. Nous parlions de tout et de rien. Mais nous savions tous les deux ce qui allait se passer un peu plus tard. Nous étions tombés d’accord sur la façon dont elle devait être sous-vêtue. Et je savais donc que, sous sa jupe, elle portait une combinaison qui recouvrait des bas et une culotte elle-même enfilée sur une gaine ouverte. Je portais la même tenue sous mon complet trois pièces. Après le café et les alcools, nous quittâmes le restaurant. J’avais retenu une chambre dans un hôtel proche. Une fois dans la pièce, nous nous assîmes face à face, moi dans un fauteuil, elle sur un autre. Elle avait enlevé sa gabardine. — Montrez-moi, lui dis-je (pendant plusieurs mois nous ne nous sommes pas tutoyés). Elle releva sa jupe. Ses dessous étaient exactement tels que je les lui avais décrits - je sus ensuite qu’elle avait dû ...
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