1. Ma belle amie


    Datte: 09/09/2018, Catégories: f, h, Masturbation intermast,

    ... faire confectionner la gaine sur mesures d’après mes indications, ce modèle n’existant plus depuis longtemps. Sa culotte était toute simple, bien enveloppante et coupée dans une étoffe rose saumon qui me donnait envie d’y enfouir mon nez. Elle commença à se caresser par dessus le tissu. Elle promenait doucement son majeur sur le haut de son sexe. N’y tenant plus, j’ouvris mon pantalon. Elle me dit, d’une voix qui tremblait un peu : — Branlez-vous pour moi comme je le fais pour vous. Et j’obéis. C’était délicieux. Elle eut un premier orgasme qui se prolongea longtemps. Sa manière de jouir était adorable. Elle gémissait doucement, tout son bassin se soulevait en cadence tandis que ses deux mains s’activaient entre sa gaine et sa culotte. Je m’étais agenouillé devant elle et, tout en me masturbant, je suçais l’une de ses jarretelles que j’avais détachée du bas. L’odeur de son sexe me montait au cerveau mais je ne voulais pas jouir encore. Je voulais la voir prendre totalement son plaisir puis m’amuser avec sa culotte. Nous y fûmes. Et, pour la première fois, je vis son sexe. Il était admirablement dessiné, à croire que ses jeux l’avaient sculpté, affiné. Son clitoris pointait encore, à demi dégagé de son capuchon. Je reniflai la culotte. Son parfum (sexe et plaisir) me rendait fou de désir. Madeleine avait recommencé à jouer avec ...
    ... son sexe : le médius de sa main droite décrivait de petits cercles autour du clitoris, alors que deux doigts de sa main gauche effectuaient un lent va-et-vient dans son vagin. Et, tout en se caressant, elle commença à me raconter sa vie : elle se branlait depuis toujours, n’avait perdu, un peu par hasard et par curiosité, sa virginité qu’à l’âge de trente ans, avait vécu un temps avec un sculpteur qui lui avait fait un enfant. Elle vivait seule, à présent, et s’en trouvait fort bien. Mais, à lire diverses revues spécialisées, elle en était venue à fréquenter des clubs de rencontre où elle avait joué à divers jeux, notamment lesbiens. Tandis qu’elle se caressait en me disant de tendres et délicieuses obscénités, je me branlais frénétiquement dans sa culotte, le nez à dix centimètres de ses mains qui savaient si bien lui donner du plaisir. Nous avons joui en même temps, elle sous ses doigts qu’elle me donna à sucer ensuite, moi dans sa délicieuse culotte. Ainsi commença une relation qui a duré dix ans et que nous avons dû interrompre, bien malgré nous, alors que nous n’en avons jamais tiré qu’un plaisir parfait. Mais j’ai conservé nombre de photos d’elle, dans sa tenue de combat, si je puis dire, et en train de se caresser. Je possède également plusieurs cassettes audio qu’elle a enregistrées en se branlant, seule dans son lit. 
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