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Rêve ou réalité ?
Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, frousses, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral hdanus,
La fin de l’hiver approche et la cohorte de stagiaires va bientôt envahir à nouveau bureaux, ateliers et autres laboratoires. C’est tous les ans la même chose, ils arrivent à partir de mars et les derniers partiront fin septembre. Avoir des jeunes dans l’équipe n’est pas désagréable s’ils sont un peu dégourdis, car dans le cas inverse faire la nounou de longues semaines est éprouvant. Ce n’est pas évident de gérer son travail et celui d’un élève. L’année dernière, Maxime avait été génial, les cinq mois qu’il a passés sous ma coupe se sont écoulés sans accroc. Il est vrai qu’en dernière année d’école d’ingénieur les stagiaires sont très souvent autonomes. C’est un peu le souci des apprentis venant d’un IUT ou d’un BTS. Leur jeunesse, leur timidité et leur ignorance du monde du travail augurent d’un lourd fardeau. Je sais que cette année c’est un élève de première année d’IUT génie mécanique qui m’est assigné et j’appréhende les trois mois qui arrivent. De plus, c’est le chef de service qui choisit les élèves suivant les sujets et critères que nous lui proposons. Nous ne savons jamais sur qui nous allons tomber, ce qui est assez frustrant. C’est une façon de faire assez spécifique mais M. Bouillon veut gérer tout le personnel comme bon lui semble sans jamais nous demander notre avis. 1er Mars, ce jeudi est le jour d’arrivée de l’apprenti, je suis venu une demi-heure à l’avance pour faire place nette sur le bureau positionné à la perpendiculaire et à la droite du mien. Je ...
... peux ainsi voir le jeune travailler sans être gêné par l’écran. Je vérifie que l’informatique fonctionne et est bien reliée au réseau. Je suis encore assis à bidouiller une nouvelle cession avec les répertoires de sauvegarde lorsqu’un tapotement sur la porte parvient à mes oreilles. Je fais entrer la personne en me levant pour la recevoir, je suis très surpris de me trouver face à une jeune fille, c’est assez rare dans ce genre de cursus. Timidement, j’essaie de la mettre à l’aise en lui proposant d’emblée de faire un tour du bâtiment. Il est beaucoup plus agréable de nouer contact de la sorte plutôt que de s’enfermer dans un bureau. Je présente les activités de l’entreprise ainsi que les personnes rencontrées. La demoiselle n’est pas très bavarde, acquiesce à mes commentaires et pose peu de questions. Je mets cela sur le compte de l’angoisse de ce premier stage en entreprise. Nous mangeons ensemble à midi dans la cantine située au dernier étage du bâtiment de la société. La présence de quelques collègues féminines à notre table met Julie en confiance. Grâce aux questions de Michelle et Brigitte j’en apprends un peu plus sur elle. Je profite du repas pour la dévisager. Un visage ovale un peu poupin sans aucune trace de maquillage, de jolies lèvres charnues qui ne sourient malheureusement pas assez. Ses longs cheveux raides laissent entrevoir des oreilles un peu trop décollées dont les lobes sont percés de discrets diamants. Il n’y a que ses mains qui témoignent une certaine ...