Rêve ou réalité ?
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
hdanus,
... sorte pour empêcher qu’elle ne voie mon regard lubrique rivé sur ses obus fermes. Dans le couloir je reprends mes esprits et je rencontre ce cher Bouillon qui vient prendre des nouvelles. Il est content que sa fille ne soit pas présente et m’invite à la machine à café. Je suis, moi aussi, soulagé qu’il n’ait pas vu mon état en présence de sa fille adorée. L’entretien dure une dizaine de minutes et c’est serein que je retourne à mon poste. Je ne peux m’empêcher de lorgner sur le décolleté de mon élève quand celle-ci m’accapare, dès mon entrée, pour que je vérifie un tableau qu’elle a réalisé. Je suis debout à côté d’elle sur sa gauche penché vers l’écran et la position me donne une vue imprenable sur la vallée. Elle porte un soutien-gorge opaque couleur chair, le tissu est fin et j’ai l’impression qu’elle ne porte rien sous le petit gilet. Je bredouille tant bien que mal mes commentaires et m’enfuis sur ma chaise en essayant vainement d’extirper les images de l’opulente poitrine. Je suis un homme faible, je continue d’alimenter l’érection qui tend mon slip en regardant Julie assise sur sa chaise. Son haut ne couvre pas sa taille et laisse voir l’adorable petit bourrelet qui la ceinture. Elle n’est pas maigre ni sujette à l’embonpoint, quelques jolies rondeurs bien placées, j’adore cette petite. Vivement dix-sept heures, que je m’échappe de ce traquenard. Pas une fois elle n’a eu un regard vers ma personne, je le sais, car je n’ai cessé de la reluquer. « Arrête de te faire ...
... des films, c’est une gamine et en plus c’est la fille du chef… » Je suis enfin libre, je tourne le contact et rentre à la maison, sans que les images enchanteresses ne quittent mes pensées. La dure réalité me rattrape, les deux gosses me sautent dessus et nous voilà partis pour jouer dans le jardin. Le samedi soir, nous emmenons les deux gentils monstres au McDo. Ils ont été sages toute la journée malgré la visite d’innombrables magasins de décorations et de bricolage. Nous sommes assis, du ketchup et du gras plein les mains, lorsque Julie vient nous saluer. Je fais les présentations, ma femme lui fait naturellement la bise, les garçons suivent. Je me lève, fais le tour de la table en écartant mes mains souillées et pour la première fois je pose mes joues contre les siennes. Je suis électrisé, mon cœur saute comme un cabri. Je n’entends pas ma femme faire des commentaires sur la stagiaire, je suis ailleurs. Par chance, je peux parler à ma femme qui me fait face tout en lorgnant sur le groupe qui s’est installé derrière elle en fond de salle. Julie est de dos, perchée sur un tabouret, son pull à capuche est assez remonté pour laisser la vue sur sa taille nue. Les poignées d’amour ne sont pas marquées, mais elles sont présentes, je trouve ça charmant de ne point les cacher. Les cheveux viennent effleurer sa peau, le pantalon en jean, maintenu par une ceinture, laisse effleurer un liseré gris et une disgracieuse étiquette. J’aimerais bien repositionner le carré blanc sous la ...